Un autre réseau pédophile élitiste a été exposé grâce à l’arrestation de Anna Gristina, une mère de 4 enfants âgée de 44 ans, en charge de la gestion d’un réseau de prostitution dans un appartement situé à New York qui comptait sur la protection de la police pour fournir, à de riches clients, des mineures pour des rencontres à caractère sexuel. Des banquiers, des politiciens et des avocats figuraient parmi les clients.
La liste des clients de Gristina « comprenait des politiciens puissants, de haut-responsables de la police, des avocats, des banquiers influents, des directeurs de sociétés de divertissement, des hommes d’affaires, ainsi que plusieurs clients européens ultra-riches », rapporte le New York Post.
Certaines des rencontres à caractère sexuel incluaient la participation de mineures, selon l’adjoint du procureur de Manhattan, Charles Linehan.
Pendant des années, nous avons documenté le fait que des réseaux pédophiles internationaux sont en activité principalement pour répondre à la demande des élites au pouvoir. Des affaires comme au Portugal, en Autriche, en France, au Chili, en Belgique, et en Bosnie ont toutes mis en évidence l’implication de personnalités éminentes dans des réseaux proxénètes, des orgies sadomasochistes et même des meurtres.
Dans quasiment toutes les affaires de trafic d’êtres humains en vue d’esclavage sexuel impliquant des enfants, les procédures judiciaires sont stoppées ou détournées lorsqu’un lien évident avec l’élite est révélé.
Au milieu des années 1990, Marc Dutroux, reconnu coupable de viol sur mineurs, construisit une cellule de prison secrète, dans sa cave à Charleroi, où il garda en otage des jeunes filles enlevées pour le compte de ce qu’il appelait « un grand réseau criminel », qui dans l’affaire judiciaire de 2004 fut suspecté par beaucoup d’inclure certains des plus hauts politiciens, juges et policiers de Belgique. La raison pour laquelle il a fallu si longtemps pour appréhender Dutroux résiderait dans le fait que ce dernier était légalement protégé par ces mêmes individus.
Les témoins au procès ont décrit « des parties fines qui incluaient des enfants, des juges, des politiciens, des banquiers et des membres de la famille royale ». Les victimes qui ont survécu (la plupart ont été massacrées comme dans les snuff movies) ont confirmé leurs accusations.
La police fouilla la maison de Dutroux et un agent entendit les appels à l’aide des enfants cachés dans son sous-sol, mais a cru, malgré tout, l’explication de Dutroux selon laquelle les cris venaient de gosses jouant dans la rue. Dutroux fut finalement condamné pour son implication dans le réseau pédophile, mais la participation éventuelle de l’élite du pays n’a jamais fait l’objet d’investigations.
Le scandale, plus récent, impliquant Jerry Sandusky a également conduit à des rumeurs selon lesquelles ce dernier avait « relooké » des garçons pour de riches donateurs. Comme nous l’avons vu auparavant, quasiment tous les grands réseaux pédophiles qui ont été révélés à la connaissance du public avaient des connections qui s’étendaient jusqu’aux plus hauts échelons de la gouvernance mondiale.
Le 29 Juin 1989, les journalistes du Washington Times, Paul M. Rodriguez et George Archibald, ont signalé l’existence d’un réseau de prostitution basé à Washington DC ayant des liens étroits avec la Maison Blanche et remontant jusqu’au Président George H.W. Bush. Les prostitués ont eu accès à la Maison Blanche et l’article a également cité des preuves de « l’enlèvement et de le recours à des mineurs dans un but de perversion sexuelle ».
En Juillet 1990, un grand jury du Nebraska fût convoqué pour entendre les allégations selon lesquelles Lawrence King, alias « Larry », alors directeur de la banque Franklin Comunity Federal Credit Union et étoile montante du Parti Républicain, avait mis en place un réseau de prostitution de mineurs avec des lobbyistes de Washington dans lequel les enfants étaient transportés à travers le pays et forcés d’avoir des relations sexuelles avec King et d’autres hauts responsables, ainsi que le vice-président Bush lui-même. De plus, les victimes, qui ont été par la suite harcelées, ont été amenées à se rétracter.
(Voir la page de l’affaire Franklin)
Le Grand Jury a considéré l’affaire comme un canular, mais l’ancien Sénateur du Nebraska, John DeCamp, a plus tard enquêté sur ces allégations et a été horrifié d’apprendre qu’elles étaient tout à fait véridiques (télécharger son livre en anglais).
Les hommes de main de ces réseaux pédophiles et de prostitution sont systématiquement réduits au silence d’une manière ou d’une autre afin d’empêcher qu’un jour leur liste de clients devienne publique.
Espérons que Anna Gristina ne connaisse pas le même sort que Deborah Jeane Palfrey à Washington DC, qui, après avoir menacé de divulguer la liste de ses clients, fût retrouvée morte suite à un prétendu « suicide », malgré le fait que Palfrey s’était plainte qu’un contrat sur sa tête avait été passé et qu’elle était apparue dans l’émission d’Alex Jones deux mois avant pour certifier qu’elle n’était pas du genre à se suicider.
Paul Joseph Watson
Source : http://www.infowars.com/new-york-prostitution-ring-provided-minors-for-wealthy-elitists
Traduction : « ledébusqeurdebombes » pour Pédopolis