Cette pratique, courante dans le monde, est connotée d’extrême droite en France. Nous pourrions bien sûr lui substituer « préférence citoyenne » par raccourci idéologique. Mais la préférence nationale n’appartient pas à la droite nationale, même si l’on doit au FN de l’avoir remis sur le devant de la scène politique. Donnons-lui plutôt un contenu réaliste et conforme à notre vision de la France. Préférons donc l’expression historique et ne nous abaissons pas à des artifices novlinguistiques. La question reste bien entendu à débattre.
Le Front National et le Club de l’Horloge ont peu évolué sur la question depuis 1986 et les expériences locales (comme à Vitrolles) ont peu convaincu. Faisons de la préférence nationale un argument massue et positif.
Au regard de la tradition française d’immigration, respectueuse de la contribution à l’effort national des travailleurs immigrés, il faut cesser la stigmatisation et la stratégie du « bouc-émissaire ». Un aménagement doit donc permettre le maintien des prestations sociales et économiques ainsi que l’accès au logement et à l’emploi pour tous les étrangers en situation régulière, détenteurs de titres de séjours, non délinquants et résidents permanents avant application de la préférence nationale à l’instant T. Ce principe répondrait de manière pragmatique, à la problématique de la préférence nationale telle que posée par le Front national. En associant la population immigrée au projet, nous éviterons plus facilement l’écueil de la diabolisation médiatique. La non rétroactivité doit « déFNiser » et populariser le concept tout en apaisant le processus législatif.
Une démonstration économique de bon sens et claire, en citant Jacques Marseille par exemple, qu’on ne peut soupçonner d’être sur notre ligne, et qui a analysé le gouffre financier de l’immigration, éclaire de manière convaincante notre positionnement.
Les avantages de cet aménagement juridique sont multiples :
Pour accompagner ce concept, il faut bien sûr y conjuguer, une politique de natalité : salaire parental, fin de la banalisation de l’avortement et de son cautionnement moral et financier par l’État.
Sans le corollaire d’une vraie politique de natalité, la nature ayant horreur du vide, c’est une immigration démographique qui se substituera à l’immigration de travail et tout effort sera vain.
Le reflux migratoire doit également être articulé de manière incitative et non humiliante pour les immigrés.
Ce sont des points du programme économique et social d’E&R qui doivent être développés.
L’immigration doit rester ce qu’elle fut de tout temps, à savoir, un levier économique de régulation à disposition de l’État et au service des intérêts de la nation.
Pour passer notre message, il faut dénoncer les conséquences négatives d’une immigration incontrôlée, ne plus faire peur et être constructif :
La messe est dite, si j’ose dire.
Le mondialisme, l’idéologie libéral-libertaire et ses idiots utiles pseudo-révolutionnaires tels que la LCR ont un projet conscient ou inconscient de dissolution des nations pour laisser place a un énorme marché aux dimensions planétaires.
Égalite et Réconciliation doit s’opposer à cette spirale infernale sans tomber dans les travers caricaturaux de l’anti-immigration primaire, et encore moins dans sa stigmatisation pour enrayer ce problème.
La France a toujours été un pays d’immigration et nos propositions s’inscrivent dans une situation exceptionnelle d’urgence et en résistance aux dangers du mondialisme prédateur.
Nous ne sommes animés que par l’intérêt supérieur de la Nation.
Fiefien
Notes :
* masse critique, comprendre seuil maximum atteint rendant difficile l’assimilation d’un individu à un nouvel ensemble.
** Le néologisme natio-masochiste est a mon avis plus proche de l’esprit d’E&R que celui d’ethno-masochiste.
*** Source Le Point, Avril 2008, article de l’économiste Jacques Marseille.
Le Front National et le Club de l’Horloge ont peu évolué sur la question depuis 1986 et les expériences locales (comme à Vitrolles) ont peu convaincu. Faisons de la préférence nationale un argument massue et positif.
Au regard de la tradition française d’immigration, respectueuse de la contribution à l’effort national des travailleurs immigrés, il faut cesser la stigmatisation et la stratégie du « bouc-émissaire ». Un aménagement doit donc permettre le maintien des prestations sociales et économiques ainsi que l’accès au logement et à l’emploi pour tous les étrangers en situation régulière, détenteurs de titres de séjours, non délinquants et résidents permanents avant application de la préférence nationale à l’instant T. Ce principe répondrait de manière pragmatique, à la problématique de la préférence nationale telle que posée par le Front national. En associant la population immigrée au projet, nous éviterons plus facilement l’écueil de la diabolisation médiatique. La non rétroactivité doit « déFNiser » et populariser le concept tout en apaisant le processus législatif.
Une démonstration économique de bon sens et claire, en citant Jacques Marseille par exemple, qu’on ne peut soupçonner d’être sur notre ligne, et qui a analysé le gouffre financier de l’immigration, éclaire de manière convaincante notre positionnement.
Les avantages de cet aménagement juridique sont multiples :
- Une réponse politique, morale, juridique applicable et une mise en garde pour les futurs candidats à l’immigration, les dirigeants des pays d’émigrations et les élites transnationales.
- La fin de la stigmatisation des masses immigrées déjà présentes, ce qui accélérera s’ils le désirent ou le peuvent leur assimilation (par cet avantage sur le prochain immigré), voire leur naturalisation mais c’est un autre sujet.
- Les Français descendants d’immigrés auront moins de scrupules en raison de leurs origines, à adhérer au concept de la préférence nationale.
- D’un point de vu médiatique et idéologique, cette préférence nationale est imparable car non discriminante, rassembleuse, économiquement constructive, et réellement de gauche (puisqu’elle peut-être défendue par les immigrés eux-mêmes).
- La fin du phénomène de pompe aspirante et la disparition progressive du poids économique de l’immigration sociale.
Pour accompagner ce concept, il faut bien sûr y conjuguer, une politique de natalité : salaire parental, fin de la banalisation de l’avortement et de son cautionnement moral et financier par l’État.
Sans le corollaire d’une vraie politique de natalité, la nature ayant horreur du vide, c’est une immigration démographique qui se substituera à l’immigration de travail et tout effort sera vain.
Le reflux migratoire doit également être articulé de manière incitative et non humiliante pour les immigrés.
Ce sont des points du programme économique et social d’E&R qui doivent être développés.
L’immigration doit rester ce qu’elle fut de tout temps, à savoir, un levier économique de régulation à disposition de l’État et au service des intérêts de la nation.
Pour passer notre message, il faut dénoncer les conséquences négatives d’une immigration incontrôlée, ne plus faire peur et être constructif :
- Le dumping socio-économique pénalise les Français et ne profite qu’au grand patronat.
- Hier les ouvriers de chantier et d’usines maghrébins ou africains, demain les webmasters et les infographistes indiens. C’est un argument qui peut faire mouche auprès des bobos de la classe moyenne supérieure : impliquer le plus grand nombre, tout le monde est concerné et personne n’est à l’ abri.
- Le déracinement identitaire et les difficultés d’assimilation en raison d’une masse critique* rendent l’intégration des enfants d’immigrés problématique et stimulent le communautarisme sur des bases ethnico-territoriales violentes.
- L’immigration économique des années 70 s’est transformée en immigration sociale en raison de la permissivité de notre système social qui avantage le primo arrivant, créant un phénomène de pompes aspirantes de la misère. Le maghrébin est prioritaire sur le Français, le subsaharien est prioritaire sur le maghrébin, ce dernier étant supplanté par le refugié Kurdo/Afghan, lui-même prit de vitesse par les Roms (voilà le produit de la hiérarchisation sociale gauchisto-droit de l’hommiste et natio-masochiste**).
- L’absence de politique familiale, l’avortement banalisé, ont rendu l’immigration justifiée et nécessaire. C’est l’histoire de l’œuf et de la poule. En réalité tout est lié. La conséquence en est l’affaiblissement profond des structures françaises, de sa culture, et de ses valeurs. On voudrait faire semblant on ne s’y prendrait pas aussi bien pour disloquer une nation. Les identitaires ont souvent tort sauf précisément sur ce point.
- Selon les calculs de l’économiste Jacques Marseille***, l’immigration produit actuellement 45 milliards du PIB national, l’Etat en dépense 70 milliards pour cette même population, en éducation, santé, etc. Déficit chronique annuel : 25 milliards supportés par la collectivité nationale.
La messe est dite, si j’ose dire.
Le mondialisme, l’idéologie libéral-libertaire et ses idiots utiles pseudo-révolutionnaires tels que la LCR ont un projet conscient ou inconscient de dissolution des nations pour laisser place a un énorme marché aux dimensions planétaires.
Égalite et Réconciliation doit s’opposer à cette spirale infernale sans tomber dans les travers caricaturaux de l’anti-immigration primaire, et encore moins dans sa stigmatisation pour enrayer ce problème.
La France a toujours été un pays d’immigration et nos propositions s’inscrivent dans une situation exceptionnelle d’urgence et en résistance aux dangers du mondialisme prédateur.
Nous ne sommes animés que par l’intérêt supérieur de la Nation.
Fiefien
Notes :
* masse critique, comprendre seuil maximum atteint rendant difficile l’assimilation d’un individu à un nouvel ensemble.
** Le néologisme natio-masochiste est a mon avis plus proche de l’esprit d’E&R que celui d’ethno-masochiste.
*** Source Le Point, Avril 2008, article de l’économiste Jacques Marseille.