Le Parlement andalou a approuvé mercredi une proposition de loi concernant la « non-discrimination fondée sur l’identité de genre et la reconnaissance des droits des personnes transgenres ».
La loi, promue entre autres par l’extrême gauche, les Verts et le groupe socialiste favorisera via le principe de « discrimination positive » l’emploi des personnes transgenres et les écoles devront considérer les élèves comme un garçon ou une fille selon leur désir et non la réalité de leur anatomie.
La loi, traitée en toute urgence, indique ce qui suit :
Le sexe-genre n’est pas un concept biologique, mais essentiellement psychologique. La nouvelle norme prétend garantir les droits et la visibilité des transgenres, définis comme des personnes qui présentent une identité de genre différente de celle assignée à la naissance.
Le Conseil andalou obligera les médias privés et publics à une conduite qui soit plurielle et à adopter un traitement approprié des informations concernant les personnes en fonction de leur identité de genre.
L’Andalousie s’engage à promouvoir la formation et la recherche en matière d’auto-détermination du genre : études sociologiques, plans de formation et d’emploi… et s’assurera que les professionnels cliniciens reçoivent une formation spécifique sur la transsexualité.
Dans l’enseignement, les écoles seront tenues de veiller au respect de toutes les expressions de genre. Les écoles organiseront des programmes d’éducation et de formation visant à éliminer les attitudes et les pratiques « discriminatoires » à l’encontre des personnes en raison de leur orientation sexuelle.