Lors des critiques et des attaques médiatiques usuelles, il a été question d’hydroxychloroquine – beaucoup –, de tisane malgache à base d’Artemisia – un peu –, mais pas du tout de remèdes homéopathiques. Peut-être parce que le Système pense avoir mis à terre l’homéopathie une bonne fois pour toute. Mais c’est dans des périodes de crise que l’on peut tester la solidité des personnes comme celles des systèmes.
Alors qu’on l’affirme impossible en théorie, il n’est pas si facile de vaincre un art de soigner qui marche en pratique depuis plus de 200 ans ! La pandémie a illustré tout le contraire : on a assisté à la promotion de certaines molécules chères, qui devaient marcher en théorie mais qui n’ont rien donné en pratique...
« Être homéopathe, c’est se battre pour la Vérité, s’y consacrer corps et âme. Plus que jamais, les mièvres n’ont ici aucune place et ce qui nous est demandé par la situation est un engagement total. »
Avec le docteur Édouard Broussalian, l’homéopathie est toujours debout.
Une théorie du complot, également désignée par les néologismes conspirationnisme ou complotisme, est une hypothèse qui propose d’expliquer un événement par l’action concertée et secrète d’un groupe de personnes. Selon Peter Knight, de l’université de Manchester il s’agit d’un récit théorique qui se prétend cohérent et cherche à démontrer l’existence d’un complot entendu comme le fait qu’« un petit groupe de gens puissants se coordonne en secret pour planifier et entreprendre une action illégale et néfaste affectant le cours des évènements ».
La définition ici me semble particulièrement absurde et même puérile puisqu’elle vise à nier que des groupes de personnes puissent se constituer pour défendre leurs intérêts et chercher à exercer une action politique ou sociétale. Or depuis le début de l’histoire ce sont toujours des groupes particulièrement fermés qui dirigent tous les pays. Les exemples abondent, le premier qui me vient à l’esprit est celui de la République de Venise où siégeait un somptueux parlement de notables tandis que toutes les décisions se prenaient à huis clos dans le sous-sol du parlement, entre une dizaine de personnes. Cela se visite toujours. Le contraste entre la petite pièce du vrai gouvernement, sordide et borgne, et les fastes de l’immense salle magnifiquement décorée du parlement est très éloquent de l’hypocrisie de nos gouvernants.
Balzac écrivait d’ailleurs :
« L’hypocrisie est, chez une nation, le dernier degré du vice. C’est donc faire acte de citoyen que de s’opposer à cette tartuferie sous laquelle on couvre ses débordements. ».
C’est dire que rien n’a vraiment changé, et bien au contraire, les complots ont régulièrement affecté le cours de l’histoire, de César à Robespierre pour ne parler que de cela. Qu’est le coup d’État du 18 Brumaire sinon un complot, financé par les banquiers privés qui ont propulsé Bonaparte, lequel en retour créera la « Banque de France », organisme privé (voir la conférence de Henri Guillemin sur le sujet).
De manière naturelle, les puissants et les riches s’assemblent, se marient entre eux, travaillent entre eux et se soutiennent. Quand une seule famille décide génialement de contrôler toute la production de monnaie des nations, alors c’est encore pire car ce n’est plus qu’un petit groupe lié par les liens du sang qui détient un pouvoir quasiment absolu, mais occulte. Je suggère vivement à cet égard la lecture de La Guerre des Monnaies.
L’Amérique a perdu la guerre menée contre elle par cette élite de financiers, dont les présidents étaient bien conscients :
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières d’active. » (Thomas Jefferson)
« La banque essaye de me tuer, mais je la tuerai. » (Andrew Jackson)
« J’ai deux grands ennemis : l’armée sudiste positionnée face à moi et la haute finance dans mon dos. Des deux, c’est la seconde qui est la plus dangereuse… » (Abraham Lincoln)
Chacun devrait avoir écouté le discours d’adieu du président Eisenhower qui met en garde la nation contre rien d’autre que le complot du complexe militaro-industriel, nommé aujourd’hui le Deep State.
Qui parle de tout cela ?
Le plus comique c’est que les gouvernements eux-mêmes complotent littéralement contre les citoyens, je cite John Maynard Keynes lui-même :
« Par des procédés constants d’inflation, les gouvernements peuvent confisquer d’une façon secrète et inaperçue une part notable de la richesse de leurs nationaux. Par cette méthode, ils ne font pas que confisquer : ils confisquent arbitrairement et tandis que le système appauvrit beaucoup de gens, en fait il en enrichit quelques-uns. » (Extrait de "Les conséquences économiques de la paix")
« Lénine avait certainement raison. Il n’y a pas de moyen plus subtil et plus sûr de bouleverser la base actuelle de la société que de corrompre la circulation monétaire. Le procédé range toutes les forces cachées des lois économiques du côté de la destruction, et cela d’une façon que pas un homme sur un million ne peut prévoir. » (Extrait de "Les conséquences économiques de la paix")
Avec l’ère industrielle, les organisations se sont faites toujours plus énormes, monstrueuses, avec un pouvoir toujours plus démultiplié. Ce n’est qu’aujourd’hui que l’on commence à parler du « Groupe Milner », comportant entre autres, Lord Grey, Lord Balfour, Rothschild, et Cecil Rhodes. Qui en a entendu parler ? Pas grand monde, pourtant c’est bien ce groupe occulte qui a présidé à la Guerre des Boers pour confisquer les fabuleuses richesses (or et diamant) de la Rhodésie afin de financer ses projets ultérieurs, c’est-à-dire une guerre mondiale contre l’Allemagne, devenue un danger pour l’Empire britannique. Les détails de l’opération sont exposés et documentés clairement dans Les origines secrètes de la Première Guerre mondiale, par Gerry Docherty, disciple du grand historien Carroll Quigley dont il faut lire l’indispensable The Anglo American Establisment.
Possible successeur du Groupe Milner qui a manipulé le monde entier pour produire l’embrasement de 1914, le Groupe Bilderberg pose lui aussi question du fait de son opacité quasi-totale et parce que s’y rassemblent de nombreuses personnes détentrices de ressources et de pouvoir immenses : chefs d’État, ministres, patrons de banque, PDG de multinationale (Bill Gates et autres), militaires, spécialistes de la sécurité internationale, universitaires, représentants d’organisations internationales (ex : FMI, Banque mondiale) et des journalistes.
Candice Vacle écrit sur son blog :
« Il est anti-démocratique que nos dirigeants politiques fassent partie de ces réunions secrètes ou de tout autres organisations secrètes intéressées par le pouvoir car le citoyen, le peuple ne peuvent pas les contrôler. De plus, on peut légitimement supposer que ces dirigeants jouent double jeux en travaillant pour un groupe secret contre l’État et le peuple. »
La présence de Henry Kissinger, l’un des piliers du groupe, devrait aussi rendre perplexe et alerter. Sa responsabilité directe ne fait plus aucun doute dans la prolongation injustifiée de la guerre du Viêt Nam et son extension au Cambodge et au Laos, ni dans les campagnes d’assassinats et de subversion de la démocratie au Chili, à Chypre, en Grèce et au Bangladesh, non plus qu’en ce qui concerne sa complicité dans le génocide du Timor-Oriental.
L’industrie du tabac a tout fait pour dissimuler les effets de la cigarette sur la santé, à coup de « science » et autres « études ». Pareillement, les effets de l’amiante étaient connus dès 1906, la société Eternit n’ignorait rien des effets mortels de son produit et une fois de plus l’industrie s’est offert tous les « experts » pour écouler son produit durant presque cent ans !
Quant au domaine médical en général, et de l’homéopathie en particulier je me bornerai à faire remarquer que l’étude australienne de 2015 qui a fait le tour du monde et prétendait prouver l’inanité de l’homéopathie s’est avérée être devant une commission sénatoriale une minable manipulation. Si aucun démenti n’a jamais circulé, personne ne veut savoir que la première version, conforme au cahier des charges scientifique validait l’homéopathie.
Mais revenons à la définition pour mieux saisir le sens attribué au terme de complotisme :
Du point de vue des observateurs en sciences sociales, la théorie du complot tend à se soustraire à la réfutation ; en effet, toute démonstration destinée à prouver qu’aucun complot n’est à l’œuvre sera interprétée comme une nouvelle tentative de tromper le complotiste, qui continuera à chercher ce qui se passe dans l’ombre et qu’on ne lui dit pas. Les explications officielles ou scientifiques établies par les pouvoirs publics et relayées par les grands médias d’informations seront structurellement discréditées.
En somme, puisque tous les paranoïaques présentent par définition un délire interprétatif à type de complots, délire qui résiste à toute tentative d’altération, alors toute personne ayant l’audace de parler de complot ou plus largement de l’existence d’organisations œuvrant dans l’ombre ne peut être que paranoïaque.
Et Wiki de terminer par un truisme d’une naïveté indicible qui fera bien rire tout historien sérieux :
La démarche de la théorie du complot cherche à adosser à des faits avérés un responsable selon une logique souvent uni-causale de narration. Elle se différencie en cela de la démarche historique qui induit une multi-causalité.
Nous sommes en présence d’un raisonnement circulaire ou de pseudo-syllogisme qui vise à couvrir des prémisses manifestement erronées par une caution pseudo médicale :
Les complots n’existent pas, l’histoire est multifactorielle
Les paranoïaques imaginent des complots
Donc ceux qui parlent de complot sont des paranoïaques
Une telle démarche est typique d’une société déjà totalitaire qui cherche à abolir toute réflexion en collant des étiquettes déshonorantes ou pseudo-scientifiques. Il y a longtemps que le Système a réalisé tout le crédit que peut apporter le sceau d’une science falsifiable à l’envi puisqu’elle appartient désormais à de grands groupes industriels. Ceci nous explique le florilège des « ismes » divers, ou autres « phobies », disqualifiant le discours déviant d’un simple trait de plume.
Puisque les complots, organisés par des sociétés plus ou moins secrètes et autres regroupements d’intérêts, surtout quand ils sont colossaux, ont toujours existé, le terme « complotisme » devrait être tout simplement banni du vocabulaire, en faire usage devenant une marque de compliance envers la dictature qui s’instaure. En revanche, le diagnostic de paranoïa devant un patient interprétatif devrait rester du domaine médical et surtout homéopathique car ainsi que Hahnemann l’a écrit il y plus de deux siècles, les maladies mentales seront toujours un lamentable échec de la médecine allopathique.
« In Times Of Universal Deceit, Telling The Truth Is An Act of Resistance »
Cette citation, faussement attribuée à Orwell, résume la situation dans laquelle nous sommes plongés bien malgré nous, car cette guerre déclarée contre l’homéopathie dès ses débuts, ce n’est pas nous qui l’avons déclenchée, mais bien l’industrie pharmaceutique et donc la finance.
Dès l’époque de Rockefeller et de la confiscation de la médecine par les trusts pétroliers dans les années 1910, l’homéopathie a représenté l’ultime danger qui menaçait la prospérité du système qui se mettait en place à coup de « philanthropie » et de « médecine scientifique » afin de distribuer les drogues issues de la pétrochimie. Oui l’homéopathie leur fait peur car elle permet en se libérant du carcan de la maladie de rétablir des hommes debout, des hommes qui pensent et donc ne se soumettent pas. Elle nous amène à critiquer les fondements conceptuels mêmes de notre société en mesurant pleinement les ravages de la vision matérialiste et réductionniste. Le potentiel révolutionnaire de la médecine du futur touche absolument à tous les domaines :
Médical avec la perspective de véritables guérisons, c’est-à-dire du rétablissement de la santé et non plus d’un misérable accompagnement de la maladie. Dans l’épidémie actuelle de Covid-19 nous avons montré l’action brillante de l’homéopathie quel que soit le stade de la maladie, avec deux médicaments que sont Ammonium carbonicum et Bryonia, mais personne ne tient à relayer cette information ;
Économique car les médicaments pourraient être distribués gratuitement par l’État, ce qui permettrait de rémunérer correctement les prescripteurs, valorisant ainsi le rôle du médecin en tant que maître de l’Art de Guérir et non plus de valet du système de soins ;
Social car le traitement des maladies chroniques à grande échelle modifierait considérablement les comportements humains toujours plus fous à mesure que les traitements allopathiques affectent les sphères mentales et émotionnelles ;
Culturel car en rétablissant un fonctionnement harmonieux de l’être humain, celui-ci se réconcilierait avec la nature et la soif de curiosité et de découverte propre à chaque être humain en bonne santé ;
Philosophique, en permettant à chacun d’user librement de sa pensée et du besoin d’atteindre le but élevé de notre existence en redécouvrant les valeurs éternelles dont sont gardiennes la pensée grecque et la civilisation chrétienne.
Depuis longtemps les attaques de plus en plus organisées et coordonnées que nous subissons témoignent d’une organisation au niveau mondial qui a tout pour s’appeler un complot. Je ne peux plus rien pour ceux qui n’ont pas compris qu’il faut une stratégie mondiale pour mettre sur pied un appel comme celui des 124 rigolos dans Le Figaro, relayé absolument partout dans la presse, à la radio, sur les plateaux de télévision, et servi fort opportunément ensuite par la méta-analyse australienne dont on sait aujourd’hui qu’elle a été grossièrement trafiquée.
Clairement l’homéopathie fait peur et cette campagne mondiale peut être considérée comme le coup d’envoi dans la série des évènements qui nous ont conduits à la crise du Covid-19. Partout dans les médias et notamment Internet, nous sommes submergés par les mêmes messages de haine et la répétition des mêmes mantras. Par ces moyens démesurés la démocratie ne diffère plus guère de l’élevage des moutons guidés et manipulés par les peurs et les émotions les plus primaires. Nous n’avons aucun moyen pour nous opposer aux procédés habituels de la manipulation mentale dont la recette en deux points est toujours la même depuis Edward Bernays et sa fameuse Fabrique du consentement :
Répétition du message jusqu’à ce qu’il soit considéré comme vrai, il s’agit d’un véritable « lavage de cerveau » ou « endoctrinement ». Ainsi on répète en boucle que jamais aucune étude scientifique n’a validé le moindre effet de l’homéopathie, ou que ce n’est que de l’eau et du sucre ;
Focalisation de l’attention sur une synecdoque, c’est-à-dire qu’un détail unique représente ou plutôt caricature à lui seul la totalité de la cible. La Tour Eiffel résume Paris, le tourisme sexuel la Thaïlande, etc. En publicité c’est le coup de la « clim à 1 euro » par exemple. Dans l’homéopathie, les dynamisations heurtent les préjugés d’un public nourri de matérialisme. Ainsi, cet aspect de la médecine homéopathique en fait la seule chose à en retenir. Dans l’affaire du Cornavirus, on ne parle que des morts, etc.
Par conséquent, être homéopathe, c’est se battre pour la Vérité, s’y consacrer corps et âme. Plus que jamais, les mièvres n’ont ici aucune place et ce qui nous est demandé par la situation est un engagement total. Nous n’en finissions pas à cet égard de recueillir les fruits empoisonnés d’une politique d’homéopathie bobologie menée par Boiron et qui se finit aujourd’hui aussi en déconfiture, apothéose de la collaboration.
C’est pourquoi nous sommes appelés naturellement à ne pas nous taire en des temps où nous voyons la planète entière basculer vers un totalitarisme à la sauce médico-scientifique, qui ne prend même plus la peine de se cacher.
Quelle est la réalité de l’infection virale ? Comment des mesures hors de proportion par rapport à un danger très mal défini ont-elles pu être prises à l’unisson alors qu’habituellement il faut des années de négociation entre pays pour s’entendre sur une ligne d’un traité ? Sachant que même en temps de guerre, l’économie tourne, comment a-t-on pu prendre la décision de claquemurer le tiers de l’humanité, nous condamnant à une récession aussi inévitable que catastrophique ? Le seul exemple qui vienne à l’esprit c’est de mettre le feu à sa maison à cause d’un moustique dans le salon.
Nous vivons une époque extraordinaire. Le Covid-19 a figé le monde entier. La peur est l’émotion première qu’attisent sans cesse les médias. La dissonance cognitive est omniprésente. Nous sommes en droit de remettre en question le récit officiel alors que la censure des opinions dissidentes augmente. Il faut voir à cet égard comment le Pr. Raoult a été traité par un front commun de haine et d’imbécillité qui ressemble fort au traitement qui nous est réservé depuis longtemps. Il dit du Conseil scientifique : « Je refuse de débattre avec des gens ayant un niveau de connaissance trop bas ». Mais surtout, il attaque la consanguinité dudit Conseil avec l’Inserm et l’Institut Pasteur au board, en déclarant « ce groupe évolue dans un écosystème commun avec les directions locales de l’industrie pharmaceutique. » Le Professeur, pourtant habitué au système s’exclame : « Ce qui est inquiétant, est que l’équipe conseillère du Conseil scientifique, qui rapporte des données sur le Remdesivir ou sur l’hydroxychloroquine, au mieux sont maladroites, ou pire, sont manipulées ». (…) « Il existe un problème très fondamental de conflits d’intérêts concernant la médecine dans ce pays, il paraît difficile d’être à la fois le bénéficiaire de financement massif et de se prononcer raisonnablement sur des choix thérapeutiques qui concernent les médicaments d’un industriel qui les produit. »
Il continue : « Dans une situation épidémique qui débute, il faut tester tout de suite le maximum de personne. Ceci n’a pas été réalisé, en particulier parce que pendant un certain temps, les Centres nationaux de référence (tous les deux présents au Conseil scientifique) considéraient que les tests diagnostiques étaient une difficulté particulière, (ce qui ne correspond pas à̀ la réalité), et qu’eux seuls pouvaient les faire. » Comment la 6ème économie au monde n’a-t-elle pas eu les moyens de fournir rapidement masques et tests ?
Il y aurait tant à dire encore, et les questions ne manquent pas :
Un arrêt global était-il justifié ? Le confinement est-il la seule option ?
Les experts en modélisation ont-ils fait des prédictions correctes et, dans la négative, pourquoi ?
Pourquoi un vaccin est-il si fortement recommandé comme seule solution alors que les traitements potentiels, tant pharmaceutiques que naturels, sont rejetés ? Pourquoi les services de santé publique ne parlent-ils pas de soutenir le système immunitaire, tout en sachant que le confinement nuit gravement à nos défenses naturelles ?
Quelles sont les principales organisations et personnes qui influencent le récit et qui motivent les réactions du gouvernement à la crise du Covid-19 ? Quelle est la place de Bill Gates dans cette histoire ? Le personnage est présent dans la simulation de pandémie à l’université Johns-Hopkins lors de « Event 201 », il déclare à qui veut l’entendre qu’il faut confiner toujours plus, qu’il investira n’importe quelle somme pour mettre au point un vaccin. Et toujours dans un immense élan philanthropique, il finance aussi le journal Le Monde et ses décodeurs.
Quels sont les risques pour les libertés et les droits civils alors que les nouvelles lois Covid-19 sont adoptées sans débat ?
Quelles sont les implications des géants de la technologie et de l’IA – censurer la liberté d’expression sous le couvert de « fausses nouvelles » tout en travaillant avec les gouvernements pour mettre en place des systèmes de surveillance ?
Qu’en est-il de l’intention de mettre en place des certificats numériques pour chaque citoyen et nécessaires pour les voyages ?
L’histoire évolue très rapidement, et ces préoccupations sont au cœur de ce qui se passe après le Covid-19, et notamment la mise en place forcenée de la 5G. Dans quel genre de monde voulons-nous vivre, et que sommes-nous prêts à sacrifier pour l’illusion de la sécurité ?
Si nous ne mobilisons pas activement, la décision sera prise à notre place.
Et vous, que choisissez-vous de faire ?