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Avec la fée noire de Pinocchio, la dominance rallume la guerre entre racialistes noirs et blancs

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Il n’y a pas que la transition sexuelle, il y a aussi la transition raciale. Ici, nous voyons la fée après, et avant transition. On ne prend plus des hormones, mais des pigments.

 

 

La production du remake de Pinocchio par Disney, cette multinationale du divertissement, voudrait mettre le feu entre racialistes noirs et blancs qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Obéissant à la tendance woke qui consiste à injecter de l’égalité partout, et de force, même là où c’est contre-productif, les responsables de cet empire qui pèse 60 milliards de CA et 247 milliards en valeur boursière, soit plus du double de Total, ont donc imposé une fée noire, qui ressemble étrangement à Rokhaya Diallo, d’après Alimuddin Usmani.

 

 

En avalant Pixar, puis Marvel et Lucasfilm, le Studio Disney est devenu un poids lourd du cinéma mondial(iste), et la crise des salles obscures n’est pas un problème depuis la création de Disney+ en mars 2020 – pile au début du confinement, dis donc : la chaîne de streaming aux 130 millions d’abonnés grignote des parts de marché à Netflix, qui stagne malgré le magnifique exercice 2020, celui de l’emprisonnement forcé des populations occidentales.

L’avantage de Disney+ sur Netflix ou Amazon Prime Video est simple : Disney possède à la fois le tuyau et les contenus, ce qui était le rêve de Jean-Marie Messier quand il tenait Canal+ (le tuyau) et le studio Universal. Le mariage entre le tuyau et le contenu a moins bien fini.

 

 

Dans tous les domaines, sociétal (la représentation forcée dans la publicité), économique (la discrimination positive), politique (la visibilisation), historique (la demande de réparations pour l’esclavage et la colonisation) ou culturel (la récupération des objets d’arts), on voit que les Noirs sont poussés contre les Blancs et les Blancs contre les Noirs, par réaction.

 

 

Et quand on écrit « les Noirs » et « les Blancs », il ne s’agit pas de tous les Noirs et de tous les Blancs, mais de ceux qui se déterminent comme tels, c’est-à-dire les essentialistes des deux camps. Car ils forment bien deux camps, aussi raciste l’un que l’autre.

 

 

Les racistes noirs veulent de la représentation, voire de la surreprésentation partout, sur le modèle sioniste, ils sont minoritaires mais la minorité qui est aux commandes de nos sociétés (occidentales « avancées ») saute sur l’occasion pour réactiver ou accentuer le conflit triangulé grâce à l’antiracisme et à la victimisation : le Noir contre le Blanc à la base, et le tireur de ficelles au-dessus, soit Gepetto, qui est incarné par Tom Hanks dans le remake de Disney, réalisé par Robert Zemeckis. Il n’y a pas de hasard.

Pour comprendre le conflit triangulé, relire Cerise : contre 24 euros et 50 centimes, vous allez vous remettre les idées bien en place. Ensuite, il faudra parfaire son éducation en travaillant sur le suprémacisme, puis la notion fallacieuse d’égalité, qui surdétermine les changements en cours dans notre espace public.

Bonus : même les trous noirs sont à la mode

 

 

Comme prévu, sur E&R :

 






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