J’ai il y a peu retrouvé un livre qui m’avait troublé quand j’étais encore qu’une enfant, à l’époque ou je l’ai lu, ( je ne suis pas allée au bout de la lecture ) j’étais placé en maison d’enfant.
Dans cette maison d’enfant il y avait une bibliothèque donc c’est là-bas que j’ai trouvé ce fameux livre qui s’intitule : " sans portes ni fenêtres ". l’auteur s’appel Peter Straub.
Voici un petit résumé du livre :
Harry Beevers est un sale gamin, une brute, mais le voisin l’a surnommé « l’intello », l’ayant surpris, un jour plongé dans un livre.
« La lecture mène à tout avait-il ajouté. »
« Ca ne peut lui faire de mal », avait ajouté sa mère.
Mais le livre qu’Harry a trouvé dans le grenier n’est pas n’importe quel livre. C’est L’Hypnose facile, un guide pratique. Même qu’il est écrit par un docteur. Et tout ce qu’il raconte paraît tellement incroyable...
Sans plus attendre, Harry fait un test. Ça marche !
Jusqu’à présent, il n’avait que cassé les jouets de son petit frère. Maintenant il s’aperçoit que le petit frère lui-même peut aussi être un jouet.

source :http://www.noosfere.org/icarus/livr...

Autre résumé du même livre :

La tonalité de ce recueil 1, le livre fermé, est sombre, et d’une certaine manière le reflet du titre. Straub nous présente un monde clos, où les parents sont défaillants, les enfants mauvais, souvent sans le vouloir, l’enfance meurtrie, voire souillée par les adultes, désemparée, sans autre issue que la mort. Le métier d’écrivain n’est qu’un moyen de se libérer d’images de jeunesse intolérable. Dès la première nouvelle, on pénètre ainsi dans une famille sordide, les Beevers : le père ivrogne ; la mère passant son temps à regretter une jeunesse que son imagination se représente comme dorée et brillante, et dont il ne lui reste que ses robes et quelques meubles ; cinq garçons, qui ne pensent qu’à fuir de la maison quand ils ont l’âge, et qui ne s’entendent pas entre eux. Bref, le climat tout à fait propice pour que, d’une manière singulière, un aîné tue son cadet.

source :http://rernould.perso.neuf.fr/zzStr...

La bibliothèque de cette maison d’enfant était géré par des éducateurs qui étaient censés connaître les contenus des livres.

A l’époque je n’ai pas osé parler de ce livre avec une éducatrice ou un éducateur, je me souviens juste d’avoir ressenti un grand malaise à la lecture de ce livre car il y a des passages de torture avec des détails.

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Tapez dans recherche google images subliminales Disney et visionnez les vidéos, je peux d’hors et déjà certifier que dans le livre de la petite sirene l’image avec le prêtre est véridique j’avais le livre quand j’étais petite.

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Devinez quel livre on retrouve dans la bibliographie sur laquelle s’appuie le programme de l’ABCD de l’égalité ?

http://www.lestroislunes.com/ADM_20...

Ben voyons, y figure les Chatouilles..

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Une histoire anglaise pour les enfants :
Un Lord et sa Lady prennent le thé dans le salon de leur château. La Lady dit :
 "Très cher, notre fils Edouard est assez grand maintenant pour apprendre les réalités de la vie. Vous devriez lui parler, en prenant des exemples, comme les chiens avec les chiennes, les chats avec les chattes, les coqs avec les poules, etc.
 Très certainement, my Dear, je vais lui parler maintenant.
Le Lord va dans la chambre du fils et dit :
 Edouard, lors de nos séjours à Londres tous les deux, vous voyez ce que nous faisons avec des dames très gentilles que nous rencontrons là-bas ?
 Oh oui ! père.
 Et bien votre mère tient absolument à ce que vous sachiez que les chiens, les chats et tous les animaux de la ferme font la même chose."

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A quand, chez Kontre-Kulture : "Les balloches de ma maman", "Papa et son nouveau clitoris", "C’est la sainte Mélusine, j’ai baisé mes cousines" et "Ma soeur Yvette en levrette". Les bouquins édités par Soral me déçoivent un peu, il n’est pas du tout dans l’air du temps ce garçon...

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Bonjour,
Attention à ne pas surréagir ! J’aime bien Aldo Stérone, mais je sens poindre un certain puritanisme dans son analyse. L’ouvrage décrit ici n’a rien à voir avec la théorie du genre. On y voit un petit garçon et une petite fille jouer aux chatouilles en cachette, à l’abri du regard des adultes, ce qui pour moi est un jeu, somme toute, relativement innocent. Cherchez dans vos souvenirs et vous réaliserez qu’on a tous plus ou moins vécu ces expériences sans qu’il y ait traumatisme. La "prétendue" sexualité des enfants dont semble douter Aldo existe bel et bien, seulement elle se vit et se découvre sans perversion, entre enfants, en cachette dans la cabane du jardin, dans les greniers, dans les recoins des cours d’école, à l’abri du regard des adultes et c’est très bien comme ça.
Le crime serait que cet "apprentissage" soit prodigué par un adulte, on est bien d’accord.
Je pense que vous sous-estimez la soif de curiosité des enfants, ils n’ont pas attendu de lire "les chatouilles" pour avoir envie de découvrir le corps de l’autre, ils sont trop malins.
Je ne comprend d’ailleurs pas les allusions au satanisme dans l’œil manquant de la poupée ou l’abat-jour(?) mentionnés dans les post ci-dessus, quelqu’un pour m’éclairer ? Avez-vous regardé les jouets de vos enfants ? L’ourson de ma fille n’a qu’un œil également, une oreille déchirée, une langue pendante et je ne pense pas y déceler une quelconque perversité naissante.
Et quand bien même il y en aurai, vont-ils s’imprimer dans l’esprit enfantin ? Dans ce cas faut-il interdire les contes de Grimm, Alice aux pays des merveilles, Pinocchio ?
Foutons la paix aux enfants, qu’ils fassent leur propres expériences sans les influencer. Le plus important étant la transmission des fondamentaux, l’écriture, le calcul, l’histoire(les enfants adorent l’histoire), les arts, sciences que ne dispensent pas les "agents" LGBT dans les écoles.
Gare à ne pas se poser en inquisiteur à notre tour en accusant n’importe qui de crime d’arrière pensée comme en sont victimes Alain Soral, dieudonné, Farida Belghoul.

bien à vous

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Les mangas contiennent aussi ce style de suggestions.
Dans les mangas pour jeunes et très jeune, vous trouverez constamment des dessins de gamines aux formes suggestives, aux jupes courtes avec vue sur petites culottes et aux décolletés sans équivoques.
Voila comment nos enfants sont formatés dés leurs premières lectures.
Ces grosses pourritures induisent des comportements à nos enfants, par la littérature, les dessins animés, les films et l’enseignement.
Si dieu existe... qu’il les crève a tous. (Excusez-moi ça doit être la caféine qui monte !)

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Christian Bruel, 66 ans, auteur et éditeur de livres pour enfants, réputé "anticonformiste", il "ne refuse aucune thématique, comme le PLAISIR ou la DIFFERENCE".

Il publie entre-autre QUAND SERONS-NOUS SAGES et QUAND SERONS-NOUS DIABLES, des recueils de comptines "populaires et coquines" destinés aux tout petits, genre "bali balo sur sa moto" ou encore "quand j’étais petit je n’étais pas grand", le tout avec illustration.

Autre livre médiatisé : HISTOIRE DE JULIE qui avait l’ombre d’un garcon.

Cette petite Julie se sent mal dans sa peau, ce carcan de petite fille, car elle est espiègle. Il parait que c’est interdit aux filles d’être espiègle, dans les phantasmes des féministes.
Un jour, son ombre se transforme en ombre de garcon.
Quand elle pisse accroupie, son ombre pisse debout.
Elle rêve, c’est devenu aujourd’hui obligatoire quand on est une petite fille intelligente et libérée, de jouer au foot.
On la traite de garcon manqué, la malheureuse, pourtant elle a "cette fente entre les cuisses qu’elle aime bien toucher doucement."
Elle rencontre un garcon, qui lui se comporte en vrai fille, il est très sensible et pleure tout le temps, mais "ils se rassurent mutuellememt en se disant qu’ils ont le droit d’exister. Ce sont des garfilles."
etc...etc...

Tout les poncifs de la théorie du genre y sont abordés. Ce Bruel est considéré comme un grand de " l’alter-sexualité" infantile. Cela ne s’invente pas.

Dans cette rubrique, on conseille entre autres "Mes 2 papas", "Mes mamans se marient", "Pourquoi t’as 2 mamans ?", "Cristelle et Crioline", "Marre du rose !" etc...

C’est un bon business non pas destiné aux enfants qui n’ont rien demandé, mais aux parents homosexuel(le)s pour qui la plupart des comtes traditionnels les met fondamentalement en porte-à-faux.

Qui a pu se fabriquer artificiellement une parenté peut bien se fabriquer artificiellement une bonne conscience.

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Il a tout bien vu ........
Et il a bien compris le côté subjectif du sens du livre....

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Il est grand temps de retourner à la religion, et à une vie saine et ne pas se laisser démonter par les arguments des instituteurs ou des directeurs d’école ( si jamais vous êtes confrontés à cela) qui ne sont que des pantins parfois qui n’hésiteront pas à sacrifier vos enfants tant qu’ils sont bien vus par leur inspecteur et auront leur paie.
C’est devenu très grave, et il faut réagir : personnellement , je ferai la demande expresse que mes enfants n’aient pas de cours d’éducation sexuelle pour raisons familiales ou religieuses et surveillerai ce qu’ils voient et lisent.

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