Alain ESCADA et le mouvement CIVITAS dont il préside la destinée m’apparaissent, à la lumière du déclin français impulsé par les deux grands appareils politiques démocratiques et républicains de l’alternance acquis au mondialisme d’obédience anglo-saxon, comme les indispensables trublions capables de porter hautement et fièrement l’étendard de la gloire d’antan de l’histoire de France des grands hommes qui ont contribué à l’édification de la nation sous les auspices des évangiles et des rois de France.
S’agissant de ce débat animé par Jean-Pierre DICKES, ce dernier est toutefois pétri d’un anti-islamisme primaire confondant bien des notions comme l’égalité théorique juridique entre l’homme et la femme alors que la nature et la tradition, y compris chrétienne ont posé la question différentielle à caractère anthropologique et relative à la féminité et à la virilité non pas en regard d’une abstraction sociétale purement démagogique, mais en se plaçant sur le terrain du concret, du réel et du vrai qui se réalise de manière quasi naturelle. L’animateur fait montre d’une certaine obsession envers l’islam et les musulmans en leur imputant des travers d’autant plus imaginaires qu’ils sont le produit d’un processus mondialiste sous-jacent à la théorie du clash civilisationnel horizontal.
Alain ESCADA, qui est par ailleurs un homme courageux, intelligent et subtil, doit se garder d’une certaine complaisance d’esprit consistant à ne pas trop déplaire à certains esprits étroits sur certains sujets, qui participent aussi de la diabolisation de l’islam et des musulmans sans aucune nuance, ni distinction.
Son public doit comprendre en priorité les chrétiens authentiques sans se départir des populations non-chrétiennes qui partageraient à la fois l’idée du salut de l’âme (foi des croyants authentiques) et celle de la résistance à l’impérialisme du nouvel ordre international et de la déstructuration du système anthropologique historique, culturel, philosophique et scientifique fondé sur le temps long multimillénaire.
En tant que français né de parents musulmans issus de l’Algérie coloniale (entrés en France en 1953 sous le statut bâtard de français autochtones), ce serait un honneur pour moi de servir ce pays qui est le mien (n’en déplaise aux fieffés cocus, aux fêlons et aux baveux, en me rendant utile auprès d’Alain ESCADA et de CIVITAS pour y apporter mon savoir-être, mes compétences transversales et ma loyauté sans faille, et ce,...
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