Nicolas Bedos se lâche... presque !
22 novembre 2011 15:18, par LOBOMAO
Le malaise sur ce sujet est devenu vraiment insoutenable, insupportable. On le subit, le sent comme l’odeur pesante d’une putréfaction cadavérique, dont on n’ose même pas ce boucher le nez de crainte d’être démasqué, accusé à tord, lynché verbalement, traité de paria par les autres qui pourtant dans la même pièce aux allures de morgue autant que vous on la nausée. Toute cette histoire pue et on est de plus en plus nombreux à être conscient que cette abcès ne tardera point à exploser.