Au lendemain du massacre, pas un mot dans les grands medias occidentaux. Ce n’est que 1 an après ou également après février 2022, que nos grands-médias ont abordé le sujet en parlant de : " drame - tragédie - militants pro-russes mort dans l’incendie d’un bâtiment". Ils n’évoquent en aucun cas un massacre provoqué par des milices d’idéologie néo-nazie (venant pour la plupart de l’ouest de l’Ukraine et ayant auparavant opéré sur la place Maïdan) devant le laxisme des autorités. Un peu comme lorsqu’ils parlent de la tragédie de la bombe atomique d’Hiroshima (en oubliant souvent Nagasaki) comme s’il s’agissait d’une catastrophe naturelle et non d’un crime de guerre, voire d’un crime contre l’humanité perpétré par les États-Unis ! Toujours ce sempiternel deux-poids-deux-mesures ! Là où l’on voit qu’on est toujours dans de la propagande depuis 1945 sur certains sujets.