Ils parlent de ligne de fracture et surtout de guerre, les mots ont un sens, l’euro ne vaut pas une guerre réel, mais peut-être nous y prépare-t-on sémantiquement pour commencer.
Et les journalistes ne s’en rendent pas forcément compte, à côtoyer les vrai décideurs (club le siècle et autres), ils ne font que répéter le langage qu’ils y entendent.