Nouvelle forme de résistance : occuper une ARS pour sauver les urgences
16 septembre 2023 09:54, par Clofer
J’ai eu une chirurgie cardiaque dans un grand hôpital parisien, 3 étages de cardiologie, des équipes connues partout, avec des stagiaires de partout aussi.
Je vous garantis que c’était la ruche, presqu’autant la nuit que le jour. Ça bossait dur du prof aux petites infirmières musulmanes et aux soignants africains. Et avec dévouement et humanité.
Après l’opération, 2 jours en soins intensifs. Là encore ça bossait dur, services de 12 heures, jour et nuit, relevé des constantes au moins toutes les heures et toujours le côté humain.
Après, j’ai eu 1 semaine de rééducation cardiaque dans une clinique privée parisienne. Rien à voir, des toubibs avec tous le même bronzage artificiel, le même brushing chichiteux et cherchant au passage à convaincre les convalescents de se lancer dans des chirurgies pas urgentes, prostate, etc.
Quant aux exercices de kiné, même pas 1 heure par jour, le meilleur étant réservé aux clients payants de l’extérieur.