Curieux comme personne ne pense lea russie capable d’une contre-attaque décisive.
Après-tout le front ukrainien est un front d’attaque, pas de défense. Le front de défense initial du conflit a été détruit depuis longtemps. Donc l’Ukraine n’a plus le ligne Maginot.
De plus le terrain a potentiellement été miné par les russes avec des engins désactivables à distance, ce qui compliquerait les maneuvres de défense ukrainiennes. Enfin l’industrie d’armement russe tourne à plein, capable de piloner ad vitam eternam des positions ukrainiennes avec un rapport de 10 contre 1.
Si la contre-attaque se fait au bon moment, durant la petite Rasputitza, les sols seront impraticables pour les chars otaniens, de 75 tonnes mini, mais practicables pour les chars russes, plus légers et plus rapides. Ajoutons que ces derniers fonctionnent maintenant en binome avec un drone de visée, et accompagnés par des drones suicides anti-chars. Sans parler des missiles hypersoniques.
Dans ce contexte, placer les troupes de Wagner à deux heures de Kiev, avec minimum 50 000 hommes spécialistes du combat urbain n’est peut-etre pas idiot.