Rien qu’en lisant tout ce gloubiboulga matraqueur de cervelle, on est rendu K.O d’ennui.
Arrivé au troisième paragraphe, on sent ses jambes devenir tout coton, ses yeux bigleux, son cerveau en ineptie, on sent son enthousiasme s’éteindre, son amour pour la vie, la joie et la bonne humeur, s’étioler...si bien qu’on se trouve à songer, avant d’arriver à la fin inatteignable de ce texte inhibiteur et hypnotiseur..."bon, ok...la retraite à la mort même si vous voulez. Et vous savez quoi ? A ma mort, retirez aussi mes organes que vous venez de flinguer.’’
Conclusion intelligente :" c’est une erreur monumentale de lire, d’analyser ou d’essayer de donner de l’importance à ce genre de texte émis par des radoteurs, qui cherchent à revêtir leur injustice, par des phrases qu’ils croient savamment élaborées. Ce type de texte vient conforter la "supériorité" tant intellectuelle que positionnelle de ceux qui l’ont émis, et nourrit, au même moment, le sentiment d’infériorité et d’impuissance des gueux qui le liront et feront tout pour essayer de le comprendre. Mais en vain."