On n’est pas dans le néolibéralisme, mais dans le fascisme :
une idéologie, celle de la fin des nations, avec des idéologies secondes comme le climatisme ou le sanitarisme
un Etat policier
une connivence Etat - pouvoirs économiques et financiers, qui fonctionne à double sens, à l’avantage du premier en termes de pouvoir et des secondes en termes de bénéfices. L’idéologie précitée est portée maintenant par l’Etat et les multinationales
un contrôle de l’information
la désignation des opposants comme boucs émissaires envers qui on peut tout se permettre
Il faut appeler un chat un chat.