Plus généralement, nous sommes, depuis quelques décennies, dans une période hystérique, sous domination croissante des femelles.
Cela provoque évidemment déclin et décadence.
Dans le bon sens perdu du passé, une giffle de faisait pas d’un homme un violent incapable de se maîtriser, et on savait bien que les femmes excellent dans l’art de la violence psychologique et dans celui du poussage à bout. On regardait ces choses avec plus de recul, de prudence, d’impartialité et de sens de l’équilibre.
Avec la prise de pouvoir des fâmes, l’homme a toujours, nécessairement, tort.
C’est évidemment une logique qui détruit méthodiquement et inexorablement toute la société, et qui ne remplace l’ordre que par le chaos.
La seule question, c’est :
la société française se laissera-t-elle détruire jusqu’au bout par les femmes, ou bien reviendra-t-elle un jour à la verticalité du phallus, qui ordonne et bâtit ?