Nouvelle définition du crime de guerre : un missile russe sur une centrale électrique
19 novembre 2022 08:54, par Lames d’acierLa France aussi est en guerre . Son territoire est physiquement envahi par des hordes d’étrangers venus de l’ Afrique subsaharienne , d’ Afghanistan, sans qu’une armée ait passé la frontière. Cette invasion , perceptible à certains moments de la vie quotidienne du citoyen français, devrait être ressentie , par tout être doué de discernement, comme une menace à la sauvegarde due à tous les trésors de la Nation. Cette remarque me rappelle un discours ,sur le thème de la Nation , de Jean - Marie Le Pen , en 1987, au palais des Congrès de Lyon. Le Front National était alors la force politique montante . Les militants semblaient bercés par le souffle imperceptible de la victoire qui s’annonçait au bout du chemin , semé d’embûches, sur lequel l’avant-garde du peuple français, constituée par une frange éclairée de la population , était résolument déterminée à s’engager pour recouvrer son indépendance et sa liberté de choix, au nom de la sauvegarde due à tous ces trésors dont recèle notre nation. Nous savions que nous pouvions compter sur la conjonction de nombreux talents. Il existait un véritable “ brain trust “ formé par des hommes tels que Bruno Gollnish, Bruno Mégret , le très humble et très brillant Hugues Petit, et surtout Jean-Pierre Stirbois , dragueur impénitent en quête de nouveaux électeurs qui avait tout compris avant l’heure lorsqu’il déclarait en aparté : « il faut faire venir les ouvriers au Front National. » Nous nous sentions forts moralement et spirituellement, à l’époque, et puis cette force mentale a été sapée à partir de la malencontreuse affaire du « détail », puis est allée en s’amenuisant après la profanation du cimetière de Carpentras , soldée par l’arrestation de skin heads, en 1996, soit, comme par magie, six années après les faits. Ce dernier évènement fut monté en épingle par la frange mondialiste de la meute médiatique française, dirigée en sous-mains par la haute finance internationale, formée par une élite non identifiée , unie par une soif de domination insoupçonnée , se délectant de la détestation de l’idée de Nation, et regroupée au sein de ce que Yann Moncomble appelait le CERCLE INTÉRIEUR, véritable gouvernement mondial de l’ombre. 35 ans plus tard, la Nation ayant sombré dans la déchéance, ses trésors étant bafoués, nous avons, face à un territoire physiquement envahi, un simulacre d’opposition avec le Rassemblement « National »