L’Allemagne dans le Nouvel Ordre mondial américain
9 novembre 2022 17:58, par Roland de Roncevauxdémocratie... bon, déjà c’est un terme bourgeois... et puis même... concernant les USA, il faudra nous expliquer où est la démocratie... deux exemples évidents.
l’assassinat de Kennedy par un zozo d’esstrême-droite-et-gauche... aucune enquête sérieuse... on se doute bien que l’assassinat de Kennedy qui prélude à la sortie de l’étalon or et à la phase néolibérale, est l’œuvre de la nomenklatura étatsunienne... personne ne peut assassiner le président américain, pas même les soviétiques ou les israéliens (sans parler de la thèse absurde de la mafia -et pourquoi pas des wesh-wesh de banlieue) ... assassiner le président américain est un privilège que se réserve le Bureau de la nomebklatura américaine... c’est le privilège des rois... à mon avis la seule et unique thèse sérieuse qui explique l’absence d’enquête et de punition concernant Kennedy. Et c’est aussi un petit message aux locataires suivants de la Maison-Blanche...
ce qui amène la deuxième interrogation :
le président élu constitutionnellement Joe Biden est manifestement grabataire et sénile la moitié du temps. La vice-présidente Kamama Harris est un pétard diversitaire mouillé (trop cruche). Il se pose donc, en creux, la question fatale : si le président est impotent, et la vice-présidente inactive, QUI donc dirige de facto les Etats-Unis-d’Amérique ? Je sais bien qu’ici certains partiront à la course au Kiki, mais ce n’est pas ma tasse de thé analytique : je pose la question d’un point-de-vue constitutionnel. Si Biden n’est pas en mesure d’exercer (pleinement) son mandat, c’est bien que quelqu’un d’autre, non élu, gouverne à sa place, en-dehors de tout cadre légal et démocratique. Ce qui ne semble émouvoir personne dans le Free World.
Il ne s’agit même plus du mensonge d’une démocratie formelle dominée en réel par le Capital. Même plus d’un président élu sous la coupe concrète de la haute-administration et des grands intérêts capitalistes. Il s’agit, sans aucune gêne, de la manifestation que le pouvoir n’est plus en la personne du président. Il n’y a donc plus d’ordre constitutionnel aux Etats-Unis-d’Amérique.