Slate, le pure player de Colombani, Atttali et Rothschild, glisse dans le porno
12 août 2022 16:19, par lecteur Soralien
le problème n’est pas la nature des secrétions post-coïtales mais l’exercice en lui-même qui se raréfie de plus en plus. le féminisme qui encourage les femmes à être chiantes et hermétiques aux approches et qui décourage les hommes de faire ces fameuses approche en l’interdisant dans les lieux les plus classiques : boulot / université. Quant à la drague de rue ou autres raccourcis que nous tend le destin, ils sont sujets à la loi sur le harcèlement.
après si vous êtes un beau gosse vous ramassez tout sur Tinder et si vous êtes un rentier vous organisez des soirées dans la terrasse de votre logement Parisien centrée et vous ramassez de la belle trentenaire en recherche de papa poule pour ovules en déclin.
le souci c’est que le beau gosse et le bourgoie ne sont pas une catégorie suffisante pour perpétuer l’espèce. le pays, déjà "envahit" par les vagues de migrations n’est qu’à un taux de fécondité de 1,87 par femme (premier d’Europe !), les Allemands, tchèques ou autres roumains sont des pays en extinction.
Slate et ses combats d’arrière garde.