L’été 2022 sera chaud : après le Stade de France et l’Aquaboulevard, la Guillotière !
21 juin 2022 21:25, par Bernard Lapotreon peut tirer un fil, puis deux, et découvrir des déterminismes plus lourds, les racines de l’événement
Tant qu’on y est, tirons-le jusqu’au bout : le système veut remplacer le prolétaire insurrectionnel autochtone par de la racaille allogène agressive, vénale et stupide.
Ce qu’il s’est passé au Stade de France est une caricature de cette réalité que les gens ne parviennent pas bien à saisir pour l’instant, prenant pour de l’incompétence les inversions accusatoires dissimulatrices des garants de l’ordre marchand, comme plus généralement l’impunité accordée aux fauteurs de troubles. Ce n’est pas de l’incompétence, c’est la matérialisation objective du communautarisme victimaire Sos racisme / BLM.
"L’événement" n’est pas un "petit fait divers" parmi d’autres, c’est un symptôme d’une dynamique globale (des incidents de Cologne au Stade de France en passant par les rodéos motorisés, guérillas en banlieues et autres égorgements de prêtres) qui ne doit pas s’analyser comme l’émanation d’un particularisme géopolitique extérieur mais bien par sa nécessité en regard de la lutte des classes.
Les tensions algéro-maliennes à elles seules n’expliquent ni ne justifient que des hordes d’allogènes causent des troubles en centre ville de Lyon en 2022.
L’angle d’attaque identitaire, bien que superficiel, a le mérite de témoigner sans détour du phénomène de grand remplacement, concept combattu par toutes les chapelles républicaines de l’assimilation universelle.