Ivermectine contre Doliprane : un vétérinaire témoigne
14 mai 2022 13:59, par SinabilLa question que je me pose depuis les premières annonces sur l’efficacité constatée (par erreur sur les pensionnaires d’un EHPAD traités pour une épidémie de gale qui ont "miraculeusement" guéri du Covid), puis avérée (sur des patients ayant déclaré les symptômes du Covid), de l’Ivermectine, et sur laquelle les médecins restent muets, c’est :
Pourquoi peut on guérir des patients atteints d’une infection supposément virale avec un antiparasitaire, quand on ne peut pas guérir une maladie parasitaire avec un traitement antiviral destiné à traiter une affection respiratoire ?
L’Ivermectine agit spécifiquement en bloquant la neurotransmission dans les cellules nerveuses et musculaires des invertébrés. L’homme n’a pas de récepteurs pour son principe actif, ce qui explique son inocuité et son action spécifique sur les parasites ayant des récepteurs spécifiques (canaux chlorures glutamate-dépendants).
Est ce que le Covid est réellement une affection respiratoire ?
Est ce que ses nombreux symptômes peuvent être la conséquence de la présence dans le corps de substances ou d’éléments nanotechnologiques fonctionnant comme des parasites avec des liaisons de type "canaux chlorures glutamate-dépendants" bloqués par l’action de cet antiparasitaire ?
Les découvertes inquiétantes sur la composition réelle et surprenante des "injections expérimentales forcées" imposées au nom de la lutte contre le Covid tendent à rappeler les premières déclarations des scientifiques promoteurs de la technologie ARNm qui parlaient ouvertement de "piratage du vivant", alors pourquoi ne pas envisager un "parasitage du vivant" ?