C’est parti mon qui-QUI ?! #8 – Deux ans de covidisme
21 avril 2022 12:50, par Le LyrosopheIl est en effet intéressant de discuter de cette justification de la vaccination en Afrique par Bill Gates, le philanthrope psychopathe qui aurait déjà pavé la moitié de l’Enfer. Croire que la baisse de la mortalité infantile en Afrique aurait pour conséquence une baisse significative du taux de fécondité et une baisse à terme de la population est d’une naïveté incroyable. Soit Gates est un autiste crétin aveuglé par ses obsessions, ignorant tout des différences raciales et culturelles entre les peuples, soit il ment et poursuit d’autres buts. Le facteur racial est en effet extrêmement important concernant cette question. Gates n’aurait-il jamais lu Rushton ? Si la baisse de la mortalité infantile a pu avoir un impact (parmi d’autres facteurs) dans le monde blanc ou asiatique, c’est une toute autre histoire en Afrique. On ne passe pas d’une stratégie r ( fortement corrélée aux conséquences engendrées par des taux de testostérone plus importants chez les Noirs ) à une stratégie K en faisant baisser (hypothétiquement) la mortalité infantile avec des vaccins pourris. Des déterminismes biologiques puissants sont à l’œuvre et conditionnent des comportements et un contexte culturel qui vont à l’encontre de la théorie fumeuse de Gates (gestation plus courte, maturation sexuelle plus précoce, taux d’hormones sexuelles plus élevé, multiplicité des partenaires sexuels, attitudes sexuelles plus permissives, taux de jumeaux plus élevé etc. voir J. Philippe Rushton). La complexité humaine dépasse largement la vision binaire de l’informaticien Bill qui voit les humains totalement identiques et interchangeables. Pascal disait, il me semble, que les idiots pensent que tous les humains se ressemblent, juste après avoir rappelé la différence entre l’esprit de géométrie et l’esprit de finesse. Bill représente parfaitement ce monde sans finesse qui a banni l’intuition, si chère à Platon. Une vision faussement rationnelle car fanatiquement rationnelle servant une volonté pathologique de contrôle. Contrôler tout ce qui par nature ne peut l’être, ou ne devrait pas l’être, contrôler les peuples, contrôler la vie pour conjurer leur peur fondamentale. " La crainte humaine, en tous les temps, sous tous les cieux, en chaque cœur, n’est jamais qu’une seule et même crainte : la peur du néant, les épouvantes de la mort " Ernst Jünger. Il semble que le pouvoir et l’argent représentent les obstacles les plus insurmontables à la victoire de l’homme sur la crainte de la mort.