Bonjour,
Donc, il ne resterait plus que les borgnes, finalement ?
En plus avec l’histoire de la poutre, qui n’a plus vraiment d’oeil ; on n’en voit plus la fin.
J’y crois encore, dans le blanc/bleu avec un soupçon de rouge.
En bref, c’est vrai, que le " truc qui nous ruine", dans tous les sens du terme, ose tout et n’a pas honte.
On va très mal s’en sortir, je pense.
En tant que fille de résistant et de capitaine de la dernière guerre qui a su faire ce qu’i fallait, je persiste.
Je signerai quand il le faudra.