Facebook vs British Medical Journal : quand la vérification des faits tourne mal
24 janvier 2022 19:54, par Jean C.
Lead Stories a également envoyé une série de tweets incendiaires après avoir publié sa réponse à la lettre ouverte du BMJ. Le tweet disait : « Hey @bmj_latest, lorsque vos articles sont littéralement republiés par un site web dirigé par une personne faisant partie des sites de désinformation, vous devriez peut-être revoir votre politique éditoriale au lieu d’écrire des lettres ouvertes. »
Tout est résumé dans ce court passage qui est une démonstration éclatante de la partialité des "fact-checkers", rendue possible par une gigantesque inversion des valeurs.
Supposons que les débiles de Lead Stories (ce nom... Ça me fait penser à Orwell et au ministère de la vérité) soient dans une démarche authentique de vérification des faits. Alors seule devrait importer la véracité et le sourçage des contenus publiés par le BMJ. Pas les groupes ou personnes par qui les publications sont relayées.
En plus d’être des petites p*tes du système, les gugusses de Lead Stories sont des abrutis finis puisqu’ils révèlent par pure arrogance à quel point leur démarche réelle est diamétralement opposée à l’intitulé de leur mission.