Ce début d’année est intéressant, un camp « rassuriste » paraît émerger et fracturer le covidisme, dont les ultras se radicalisent et deviennent de plus en plus méchants.
Cette division offre du champ aux opposants qui ne sont nulle part plus forts et organisés qu’aux Etats-Unis.
Ayant dû, et faisons leur l’honneur de penser que ce ne fut pas toujours de bonne grâce, débiter pendant 2 ans la soupe officielle au public, les journalistes qui sentent l’étau se desserrer relèvent un peu la tête et commencent à contester (Ruquier, Pujadas, Charlie, Apolline, Morandini...).
Mais ce qui compte, c’est de savoir si la fin du covid doit être la fin du projet auquel il a participé, ou si ledit projet n’est pas seulement en train de changer d’instrument pour en adopter un bien pire (guerre, climat), éventuellement en sacrifiant au passage certains exécutants comme Fauci. Bill Gates a annoncé la fin de la pandémie pour 2022, mais la survenue d’autres « problèmes ».
Cela vaut peut-être la peine, au lieu de se focaliser sur un covid en bout de course, de se projeter sur le prochain hold-up mondialiste.