Professeur Didier Raoult – Les comploteurs et l’information
4 octobre 2021 22:57, par SamWangPour référence, en écho à ma critique du 29 septembre 2021 (publiée ci-dessus) relative au positionnement de Didier Raoult — à savoir l’absence de communication de sa part, ces dernières semaines, sur les effets indésirables des injections géniques expérimentales anti-COVID, ainsi que sur le ratio bénéfices/risques —, je relève qu’il s’est un tout petit peu exprimé sur le sujet dans un entretien qu’il à accordé à la chaîne Sputnik, cf. la vidéo (durée 24:14) titrée « Covid-19, enfin le bout du tunnel ? Le Pr Didier Raoult répond », publiée le 30 septembre 2021 sur la chaîne Youtube Sputnik France (plus de 280.000 vues annoncées pour cette vidéo au moment où je poste ce message).
En effet, à la question posée à Didier Raoult (par le journaliste Victor Lefebvre, de 12:47 à 13:01) quant à son point de vue sur la prétention du CDC américain (Center for Desease Control) d’avoir établi que la balance bénéfices/risques de la « vaccination » penche en faveur de celle-ci même pour les jeunes adolescents à partir de 12 ans, le professeur répond (de 13:01 à 15:31) en marquant son désaccord complet. Il indique particulièrement que, sur la période du COVID, les français de moins de 40 ans sont moins morts que les années précédentes (il fait référence aux deux, voire trois années précédentes, en précisant 2017, 2018 et 2019), par conséquent il n’attend pas de bénéfices en terme de réduction de la mortalité pour les jeunes. Il ajoute qu’il y a un vrai problème du fait que l’évaluation des effets secondaires (des « vaccins » anti-COVID) n’a pas été faite parce que dans les conditions d’urgence, il a été considéré qu’on n’avait pas le temps.
Je relève qu’il ne mentionne pas l’évaluation des très nombreux effets indésirables qui remontent — bien qu’imparfaitement — par la pharmaco-vigilence.
Dans la suite, de 15:31 à 17:12, Didier Raoult répond à une autre question relative à la pertinence de l’éventuelle injection d’une troisième dose de « vaccin » en envisageant qu’elle puisse présenter un intérêt pour les personnes à risque mais que le ratio bénéfices/risques est à évaluer en fonction de la population, notamment l’âge et la situation (on peut supposer que son usage du terme "situation" renvoie notamment aux facteurs de comorbidité).