Professeur Didier Raoult – Les comploteurs et l’information
29 septembre 2021 07:18, par SamWangCher Didier Raoult,
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j’ai bien compris que « le lendemain, le matou revient » — je fais référence au titre de ta prestation en vidéo publiée le 21 septembre dernier sur la chaîne Youtube de ton IHU — et ça fait partie désormais de l’équation, mais nous sommes de plus en plus nombreux à ne plus supporter tes contorsions intellectuelles. Au mieux, les gens se mettent à ne plus t’écouter (tu t’en fiches, ou non, autrement dit tes entretiens en vidéo, tu les fais pour le compte de qui ?), au pire, il se pourrait que tu doives assumer les conséquences de certaines de tes positions déraisonnables devant le peuple et ses tribunaux populaires anticipables. Je ne parle pas là de ton exposition à la pression pour raisons financières et idéologiques (qui tendent à susciter ma compassion).
Car, en effet, d’un coté tu annonces qu’étant en fin de carrière et étant bénévole dans la mission que tu assumes, la pression — pour une part de nature mafieuse — qui s’exerce sur sur toi te fait... disons un effet similaire à celui de l’eau glissant sur les plumes d’un canard, mais d’un autre côté tu t’abstiens désormais soigneusement, dans tes interventions hebdomadaires sur la chaîne Youtube de ton IHU, de parler de ratio bénéfices/risques des injections géniques anti-COVID, feignant d’ignorer les statistiques des effets secondaires graves des « vaccins » tels qu’ils sont notamment estimés avec rigueur par le Conseil Scientifique Indépendant (CSI) à partir des chiffres officiels publiques — te contentant pour ta part d’annoncer que la réduction de mortalité que tu identifies à Marseille peut s’expliquer par de multiples facteurs, dont l’effet supposément positif de la vaccination... et tu t’es permis — comme un affront à la science et à la dignité humaine — d’inciter publiquement, avec force conviction affichée, les personnels de santé à la vaccination — hors considération de facteurs de risque comme l’âge ou des facteurs de comorbidité — au titre que, sans cela, ils pourraient participer à la propagation de la maladie auprès des malades, alors que la réduction de la propagation du virus chez les « vaccinés » n’est pas prouvée, alors que les effets secondaires graves des injections géniques s’accumulent et d’autres effets graves à plus long terme sont anticipables, et alors que la perpétuation de l’activité de ces personnels de santé était soudainement conditionnée par l’acceptation de l’injection génique.
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