Autochtones et cancel culture au Canada : autodafé de livres jeunesse au nom de l’inclusivité
11 septembre 2021 13:02, par Robespierre
Le « woke » programme sa propre disparition.
Il peut enterrer autant de livres qu’il lui plaira, il ne fait que creuser sa propre tombe, et c’est assez amusant à voir. Les personnes structurées par des valeurs traditionnelles et de bon sens survivront, et leurs axiologies avec elles, à ces singeries de suicidaires en manque d’attention et rongés de passions tristes.
Après tout, pourquoi s’inquiéter de ce que bricolent des inadaptés à la vie ? Elle se chargera d’éliminer ces balayures. Plus ils s’échinent à rendre chaotique la situation, plus ils favorisent des conditions difficiles et donc leur propre fin. Qu’ils restent entre eux, nous vivrons entre nous. Si les choses venaient à s’envenimer entre les urbains à trottinettes occupés à inventer des pronoms et les rustauds rustiques, dépiautant les lapins et las de tant de parasitisme, l’issue de l’affrontement ne fait pas de doute.