C’est un sordide fait divers monté en épingle.
La réalité c’est que la justice au travers de la cour de cassation s’est exprimée en droit : article 122-1 du Code pénal : N’est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes.
Si le parquet à échoué par deux fois, en première et en deuxième instance, ce n’est pas par antisémitisme, mais bien parce que la preuve a été apportée que le type était sous l’emprise de la folie au moment de l’acte.
J’ajoute une note personnelle : il reste un semblant de justice en France, malgré les imperfections, l’entrisme, les pressions des lobbies et des politiques.
On la juge parfois laxiste, mais précisément parce que c’est une justice pour des gens civilisés, pas des sauvages sanguinaires importés en masse.