"La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement"
31 octobre 2020 20:45, par SevOn va rappeler au CNRS et à tous les labos en manque de génie véritable que le tripatouillage du génome animal, voire depuis quelques années carrément humain, ne se fait pas sans retour d’éprouvette dans la fiole !
La Vie n’aime pas qu’on la charcute, l’homoncule de la modernité subclaquante se prend pour Dieu depuis qu’une certaine gauche à voulu substituer à la transcendance mystique de tout temps une religion matérialiste au ras des ustensiles dans laquelle l’homme s’est auto proclamé créateur. De lui-même déjà, en claironnant à tous les vents que l’IA (cette grotesque marotte des Dr Folamour du type L. Alexandre) serait son œuvre, et de la réécriture de tout ADN qui lui tombe sous le gant de laborantin en mal de gloriole.
Le covid19 contient vraisemblablement deux inserts pas catholiques du tout ;-) L’un, extrait du virus du sida, a pour effet de désacidifier le milieu de la cellule infectée permettant ainsi une contagion plus agressive et rapide ; le second "serait" un morceau génomique du virus de la malaria... qui expliquerait que l’hydroxychloroquine ait un net effet sur l’inflammation excessive dite "tempête cytokinique" que l’on retrouve dans les infections aiguës de malaria.
Quoi qu’il en soit, c’est comme pour les "bébés éprouvettes", dont pas mal sont des adultes et dont on ne parle quasiment jamais et pourtant... il semblerait, d’après quelques études éparses, qu’il y ait quelques anomalies à terme chez les "fabriqués en labo"...
La Vie supporte beaucoup et longtemps les conneries humaines, mais le jour où elle se réveille, en générale, elle ne fait pas dans le détail...