Je ne porte pas mon masque, ni en privé, ni en public.
Si je croise des flics, des poulets, des QI à deux chiffres, appelez ça comme vous voulez, je me casse en courant.
Le plus pitoyable est le type seul dans sa bagnole, dans une rue déserte, un dimanche après-midi, avec son masque sur la gueule.
Il y a une horrible "menace", mais même lui ne sait pas d’où elle pourrait sortir.
"Bon citoyen va" (lui ébouriffer les cheveux ou lui pincer la joue).
Quand le Peuple dit "on nous prend pour des cons", réfléchissez juste sur le fait que ça fonctionne... depuis plus de deux siècles.
Vous n’êtes pas des cons, hein ?