Drague, sexe, féminisme : quand Slate fait la pub d’Alain Soral
13 septembre 2020 06:37, par Anachorète sans foi réelle
Jeanne, pintade moderne typique de ce triste siècle numérique, a reçu ce à quoi elle et bon nombre de ses consœurs d’ici ou d’ailleurs semblent durement "accro", l’attention. Avec en prime, ce n’est pas négligeable, un supplément grosse-victime qui lui collera aux basques pour son plus grand plaisir (et pour le restant de ses jours). Même si elle affirme qu’elle n’a pas cherché à "faire le buzz", considérant qu’une pipo-blogueuse australienne avait vécu la même tempête dans un verre d’eau deux ans auparavant et avait elle aussi posé ensuite sur les réseaux dits sociaux avec l’objet du crime, on pourrait presque avoir quelques doutes et crier au coup monté. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise publicité ai-je lu quelque part. Que ne ferait-on pas pour un petit rush de dopamine. Et quelques instants sous les feux de la rampe.