Découvrez les images du premier Festival de la réconciliation !
24 août 2020 15:54, par MichkaUn coin de nature vallonné préservé, où pâturent peinards les charolais à l’abri de haies vivantes, une brise amicale bienvenue, un silence réparateur, donnent un sentiment de paix, de bulle protectrice .
Des rencontres de cerveaux malades, toutes plus belles. Un ancien restaurateur normand, un professeur de piano vosgien, un autre vosgien à tifs, un électricien auto lorrain, un savoyard de Lozère, des gens de partout, de toute condition. Le point commun : un haut niveau d’éveil et de conscience.
Le tout dans une ambiance amicale, fraternelle, confiante . On peut laisser traîner son portable, les enfants jouent dans leur coin.
Des conversations spontanées enrichissantes. Un gamin, à chaque micro ouvert : Soral à raison !
Des ateliers, des conférences intenses, de nouvelles notions. L’on y découvre que le niveau des intervenants est bien supérieur à ce qu’on perçoit d’eux sur ER. Alain sait s’entourer.
Sa vision prend ici tout son sens. Le retour à la terre, la lecture, les produits sains, la fraternité virile, les pompes, la boxe, le combat pour le vrai, le beau, le grand, la vérité, la cause nationale, la France.
L’œuvre du Maître.
Une armée de petites mains, fourmis généreuses et opiniâtres, nous ont nourri, abrité et bien plus.
En France, tout finit par des chansons, les musiciens nous ont enchantés chaque soir.
Jolie prolongation lors du retour vers le « réel », la présence de deux camarades d’auto-stop jusque Langres. Premier cadeau bonus.
Second cadeau bonus, travaux pratiques de l’atelier de Lucien Cerise, avec une mamie masquée à la boulangerie, fâchée qu’on évolue à visages découverts. Quelques arguments aimables sur le trottoir porteront peut-être, il y a du boulot. On ne l’aurait pas fait avant ce festival fortifiant.
Isolé parmi les BoFMisés, à présent je ne suis plus seul. Un village gaulois résiste, je sais où il est, il m’a appris comment en créer d’autres. Noble tâche.
Au final, je ne me suis pas trompé, c’est bien avec ER qu’il faut être.