Constatons l’horreur de la mécanisation, la disparition des techniques et des emplois.
Certes pour mettre au point ces machines, il faut des heures de travail et des connaissances, mais elles participent incontestablement à réduire le besoin en travail humain et donc au chômage.
Cet article se restreint à l’industrie du bois, mais cela s’observe dans tous les domaines aujourd’hui.
Comme le dit Mr Gauthier, la limite dans la mécanisation devrait se situer là où l’homme reste encore dominant sur la machine.