Le Conseil d’Etat a réagi à une demande en justice. il faut en faire deux autres :
1. la réouverture des cafés, restaurants, lieux de culture et de loisirs : c’est en effet la première fois dans l’Histoire du Monde que des individus sont interdits de bistrot, lavoir, marché, foire, restauration, bal du dimanche, parcs d’attraction, spectacles et festivals, bibliothèques, rencontres de hasard avec, éventuellement, son futur/sa future.
D’eux-mêmes, si les gens ont peur d’attentats ou de microbes, ils évitent les lieux de rassemblement. Nul être au monde, fût-il "élu" de la Répu par abstention majoritaire des électeurs désabusés, ne peut se substituer à leur libre arbitre en la matière.
D’ailleurs la fermeture injustifiable des musées (par exemple) ne laisse d’inquiéter : n’y aurait-il pas pendant qu’ils sont fermés, des ventes de patrimoine artistique clandestines ? Le musée est la propriété du peuple français.
2. réouverture sans conditions mesquines, psychotiques et idiotes des parcs et plages. La nature, certains en vivotent (bois de chauffe, pâtures). Mais avant tout, l’accès à l’oxygène naturel est un droit fondamental et inaliénable, du reste indispensable à la santé de tous, et particulièrement des plus fragiles, ceux que le gouvernement prétendait "confiner" à 100% avec un zèle enragé.