"Créer l’évènement" euh... pour moi le meilleur évènement qui puisse nous arriver, c’est un coup d’État.
Sinon tout le reste c’est du ping-pong, passer son temps à déjouer les pièges cognitifs de l’ennemi, c’est lui répondre, mais tant qu’on n’a pas le pouvoir concret rien ne changera vraiment, nous serons toujours attaquer.
Donc est-ce que l’urgence, au lieu de faire de la réinfo ou de la recognition, n’est pas d’établir une stratégie d’action ou d’infiltration, voire de monter un commando, allons-y franco.
Mon commentaire peut paraître stupide ou naïf, mais en revanche j’ai bien compris qu’il y a en effet urgence : nous sommes comme la grenouille dans la casserole en train de cuire.
Et leur technique des petits pas, ça marche : tout le monde porte un masque.
Je viens de recevoir des masques de ma Mairie, ça veut dire que si je ne les porte pas, je devrais me sentir coupable ?
Certainement.
Mais jusqu’à quand allons-nous dire oui ? Jusqu’à ébullition ? Ce sera trop tard, nous aurons les quatre pattes en l’air.
Il faut une action commando, c’est ça l’évènement sur lequel il faut bosser.
Si vous tablez sur un éveil des consciences (et bordel ce que c’est long, surtout si on part de zéro) on sera pris par le temps et vous avez bien compris que tout l’enjeu du Système est de nous faire gober leur Nouvel ordre sans qu’on s’en rende compte, par petites piqûres : ET ÇA MARCHE !!! (et sur beaucoup, beaucoup de monde, y compris nos Forces de l’ordre)
Donc il faut passer à la radicalité, avant qu’on ne soit même plus en mesure de réfléchir ou de parler à cause des puces qu’ils vont venir nous greffer !
J’extrapole mais je crois que le but final est que nous ne soyons plus en mesure de comprendre, d’éliminer le cogito, la raison... de faire de nous des légumes sous acide bardés d’ondes.
C’est dans le pire qu’ils sont le meilleur, mais de notre côté c’est dans la prévoyance de ce pire que nous pouvons au moins déterminer les évènements à venir.
Je soupçonne qu’on relativise trop le caractère satanique de tout ça. Peut-être qu’il faut être croyant pour s’en rendre compte et avoir par contre-coup cette lucidité de la présence, jamais aussi puissante autour de nous, du Mal.
C’est typiquement dû à la manie moderne de l’intellectualisme, surtout à l’heure des RS : ça parle à tort et à travers jour et nuit sur toute la planète, ce qui a pour fait effet de lisser et de faire oublier ce combat radical du Bien contre le Mal dans lequel nous devrions être.