New York : le maire critiqué pour avoir dénoncé le rassemblement de centaines de juifs orthodoxes
30 avril 2020 18:23, par GillesVu la mini série Netflix sur le sujet, Unorthodox de 4 fois 50 minutes, qui aurait dû faire un excellent documentaire de 1h30, sur une communauté peu connue.
Il y a 2 heures de trop, consacrées à la grotesque propagande homosexuelle et shoatique. Esther part de sa communauté, ça c’est vrai, ensuite c’est de la science-fiction. Elle arrive à Berlin où sa maman est une lesbienne épanouie. Dans tous les plans, il y a des femmes voilées ou des groupes de noirs, ce qui reflète absolument la vie berlinoise.
Esther rejoint on ne sait comment un groupe d’étudiants de l’école de musique juive Chalgum, et se lie d’amitié avec un groupe de juifs du monde entier, un noir evidemment en couple avec un allemand qui se papouillent toujours en public, et un garçon dont elle tombera amoureuse. L’acme du film est dans le 1er épisode lorsque Esther et ses supers potes vont se baigner à Wannsee en face du château ou le diable Hitler a décidé La Solution finale. Esther quitte alors sa perruque et symboliquement s’étend dans le lac, dans une renaissance bouddhique barmitvesque baptismale. Évidemment la tribu orthodoxe est en comparaison, ridicule, du moins pas au niveau de coolitude absolue. Avoir une maman lesbienne et des amis homosexuels racises étant le sommet de cette civilisation.
Je ne vous raconte pas la fin mais ça se fini plutôt bien pour Esti.
N’étant ni juif, ni orthodoxe, sans faire l’apologie de cette secte ; je ne sais pas si se retirer du monde (secte vient de secare, couper en latin), n’est pas préférable à ce bonheur que l’on vit actuellement.