Cher Félix,
Moi aussi la moto attend bien sagement. Alors, comme je suis landais et que là où j’habite c’est l’immense pinède et les chemins de sable à perte de vue et sans âme de flic qui vive, je ne me rends absolument pas compte du confinement. Je me félicite tous les jours d’être un plouc de province.
Signé un Landais (pas Lelandais !)