L’ingénierie sociale n’a jamais autant pensée. Elle nous sert des scénarios à tiroirs, la boîte dégueule. Ces maléfices nous font tourbillonés, on est sur le mode essorage dans la machine dans laquelle on nous a mis depuis longtemps dejà. Le linge est encore mouillé, fripé et restera comme ça. On fait de nous des zombies. On a longtemps aussi fictionner la realité, en nous disant ce n’est que de la télé ou du cinéma. Et non c’était le réel. En plus ils sont sadiques. Les mots sont les premières armes, redoutables dans un sens comme dans l’autre. A présent il faut choisir, mais où est le mode d’emploi ? En nous-même c’est certain, mais l’entre-prise est fragile, il faut une unité. L’atteindrons-nous ? Je le crois de moins en moins.