Un coach en séduction parle de Sociologie du dragueur
10 mars 2020 00:17, par SedetiamBla, bla, bla... et bla, bla, bla : trouve-toi une journaliste, elle fait déjà des piges, pour pas grand chose. Ça y est, je suis coach...
Quand la belette - et plus encore celle contemporaine - à déjà un idéal pré-construit dans son esprit, tu peux jacter tant que tu veux - dans un laps de temps très court -, c’est frit. Seules les disponibles (ce qui ne signifie pas, libres), les endormies ou les curieuses frivoles se laissent désormais embarquer par le premier venu qui n’a rien à offrir d’autre que sa tchatche. Jusqu’où ? Là est la question.
La « Sociologie du dragueur » est intéressante pour l’étude qu’elle en fait.
Coach en séduction, c’est juste de la PNL pour les pauvres gus qui rament aux culs des belettes : comme un attrape-nigauds qu’il faille ou non payer, du reste, puisqu’il manque un « truc » de base à ses gars-là : soit-il psychologique ou mécanique, tel que de ne pas avoir la bonne rallonge pour le marteau-piqueur. Et, quel que soit le gonze de ce panel-là, même s’il l’acquiert avec force d’apprentissage, de courage et de langage, s’il n’est pas chargé de testostérone, les phéromones bombardant à tout-va à l’heure où la donzelle est réceptrice, l’ouvrier de chez Renault avec la tête de Sim, sans en avoir l’humour, la notoriété et le compte en banque, peut aller se rhabiller avec la veste qu’il va prendre et les costards que les Pierpoljack vont lui tailler.
Pour ce qui me concerne, j’ai un frangin et un pote qui présentent bien mieux que moi (sauf en costard), les yeux bleus en prime pour noyer les nénettes et qui ne s’en sortent pas du tout : on a beau leur expliquer avec les exemples tirés de l’expérience (filles ou garçons) ; rien. Des fois je me demande s’ils ne font pas un concours de râteaux puisqu’ils se connaissent. (Bien évidemment, pour ceux-là, les gonzesses - faciles - sont toutes des putes : car eux ne choisissent que les difficiles, nous l’aurons bien compris ; la femme de leur vie : ah, ah, ah !).
D’autres plus patibulaires, qui lèvent comme ce n’est pas permis, « ténébreux » prédateurs du consentement chez lesquels la bonne femme lit d’avance et dans le regard, ce qui va lui arriver quand elle va se retrouver la tête dans l’oreiller... Si tant est qu’il y ait un oreiller ! Piquant par effet de vases communiquant, celles des deux zouaves précités, donc et dans la culotte desquels on ne trouve pas de main d’aucune sœur, si ce n’est la leur.
C’est presque du gâchis tant il faut en virer, le temps manquant à « l’affaire ».