Discours d’Adolf Hitler du 10 décembre 1940 : une pièce historique au dossier de la Nuit de cristal
10 décembre 2019 21:36, par kabouliLes vraies révolutions ne sont pas violentes. La révolution chrétienne s’est imposée par le sacrifice et le martyr et c’est en acceptant la violence que l’Etat romain lui tendait qu’elle s’est pervertie ; sans toutefois se déshonorer à preuve l’élimination de l’esclavage de la sphère européenne.
Les révolutions violentes ne sont que des coups d’état qui veulent substituer à la volonté et à la souveraineté populaire la volonté de gens qui invariablement en appellent plus tard aux bourgeois comme on a pu en juger du communisme en Russie.
La révolution allemande de Hitler pouvait se moquer de la démocratie bourgeoise et de son hypocrisie pour lui opposer la terrible réalité de la terreur étatique pure.
Le message chrétien de justice et d’égalité entre les hommes était ensevelit sous l’impératif catégorique d’une réalité impitoyable. Le fürher allemand avait tout du Moïse de l’Ancien Testament dont la lecture avait été longtemps interdite aux chrétiens avant la révolution protestante.
L’allemand n’était plus l’esclave du bourgeois mais de l’Etat. A la "nuit de cristal" jouant la destruction de la bourgeoisie par l’élimination des juifs devait succéder la nuit des longs couteaux" et l’élimination de la gauche nazie" et la destruction du problème social. L’allemand n’était plus qu’un soldat comme jadis le légionnaire romain prêt à se jeter sur le monde et a y répandre la terreur étatique moyennant quelques routes et hôpitaux.