Entre Turcs et Kurdes, les raisons d’un prudent optimisme
15 octobre 2019 06:51, par Jobi Joba
Merci pour ce brilliant article. Vous montrez qu il y a quelques espoirs et je crois bien, depuis 30 ans de marécages que je n’avais jamais vu un tel espoir poindre. Tout d’abord parce qu’on sent bien que les sionistes n’ont plus toutes les cartes en mains. A part en Europe. Qu’il y a en place 3 gars plutôt doués de sens communs : Poutine, Trump et Assad. Que les 3 ont un respect des chrétiens. Que Netanyahou est en bons termes avec trump ainsi que les saoud.
Vous voulez que je vous dise ? Les conditions de la paix sont réunies !
L’autre raison de se réjouir, c’est un gros revers contre les poisons sionistes, les branches pourries de la CIA.
J’ai aussi apprécié Erdogan qui a clairement fait comprendre à quoi servaient les réfugiés /migrants.
Le pape François s’est malheureusement encore illustré en appuyant sur les pauvres kurdes qu’on abandonnait. Toujours dans le même sens ce pape. Lui qui n’a pas dit un mot quand les chrétiens de Syrie ou de ninive se sont faits trucider. Je suis catholique. Pourtant. Justement. J aime la paix.