Tariq Ramadan visé par une nouvelle plainte, pour "viol en réunion"
27 août 2019 10:01, par EnkiLorsque je lis ici les propos virulents et déchaînements à propos de Tariq Ramadan, quelles que soient les opinions que l’on puisse avoir sur lui, tant que les faits ne sont pas établis après enquête sérieuse, comment peut-on l’incriminer encore une fois après une déclaration d’un viol en réunion « présumé » ayant eu lieu le 23 mai 2014 soit il y a 5 ans et dépôt de plainte récente ?????
Qui ne dit mot consent : non ?
Pendant 5 ans, la Mme 45 ans journaliste de radio aurait donc consenti à un présumé rapport sexuel qu’elle qualifie en 2019 « viol en réunion » (ou collectif, si le deuxième homme a participé ???) !
Résumé : pendant 5 ans, rapport consenti voire assumé donc un « vendredi soir inouïbliable » au point .... d’oublier d’en effectuer un dépôt de plainte .....
et en 2019, le même rapport sexuel devient un viol en réunion d’une violence « inouïe. »
Sont signalés sur les mythes concernant les femmes affirmant être victimes de viol : « Les travaux de Mary Koss, Lisa A. Goodman, A. Browne, Louise F. Fitzgerald1, G. P. Keita et N. F. Russo H 9 en 1994, puis ceux de Hamberger, Lohr, Bonge et TolinH 10 en 1997, les regroupent en trois catégories :
il ne s’est rien produit : l’idée que les femmes accusent souvent les hommes à tort de viol ;
elle l’a voulu ou elle a aimé : l’idée qu’une femme qui dit « non » pense « oui » ; que la violence est sexuellement excitante pour les femmes ; que la victime aurait pu résister si vraiment elle n’était pas consentante ;
elle l’a mérité : les justifications par le fait qu’« elle était habillée de manière trop sexy » ou qu’« elle marchait seule la nuit ». wiki Mythes sur le viol
_ »
Il y a dans toutes les formes de séductions notamment chez les femmes, l’exercice d’une violence psychologique subtile d’apparence bien innocente faite de paroles de gestes qui ont pour but de déstabiliser les hommes, de les soumettre, de les contrôler afin d’éveiller leur libido sans toutefois leur montrer explicitement qu’ils peuvent s’autoriser à passer à l’acte. Et ce, de manière perverse chez certaines femmes pour garder une position de supériorité quoi qu’il advienne.
Ce sentiment de supériorité, et donc d’impunité donne ce pouvoir de vie ou de mort légal de la séductrice en lui laissant la possibilité à tout moment de se persuader qu’elle est victime si elle estime que le rapport sexuel auquel elle aura consenti tacitement, « je pense oui, mais je dis non », ne lui aura pas apporté ce qu’elle espérait.
Effondrements !