Bruno Guigue – Le socialisme chinois et la fable du libéralisme
26 août 2019 00:57, par alderic-dit-le-microbeJe n’ai pas été déçu ! Je m’attendais à de la médiocrité et du conventionnel à la française, j’ai été copieusement servi.
Venant d’un normalien, énarque de surcroît, ça explique bcp de choses.
Pas de définitions des termes employés, pas d’analyses, pas de réf. des sources, que des histoires, du baratin, c’est du niveau de qui a la plus grosse et des pifs gadget.
Il eut été bon de montrer comment, par le choix des mots, en se basant sur les associations d’idées qui se font naturellement dans le cerveau humain, on parvient à faire passer le vol et l’extorsion pour un mouvement de liberté. Le libéralisme se dit philosophie politique, or, il n’y a ni philosophie, ni politique dans le libéralisme. C’est uniquement la liberté donnée aux frères de faire tout ce qu’ils veulent avec le pognon.
Idem pour le socialisme, aucun mot sur ses limites, ni pourquoi ça fonctionne quand on part de zéro avec des populations quasi analphabètes.
Le modèle chinois actuel a des limites. Et quand le socialiste bute sur les limites, il fabrique des crétins pour justifier le socialisme, tout comme les labos fabriquent des maladies pour faire du CA.
Le libéralisme, c’est du socialisme radical, mais qui profite quasi exclusivement aux riches, et qui dessert les dominés en leur plongeant la tête tjs plus profondément dans la merde, jusqu’à ce que ça explose en bains de sang.
Est socialiste ce qui interfère dans les relations entre les individus, qui est du ressort d’autres individus organisés en communauté, mafia, qui est entaché de vice de consentement, et qui s’applique à la collectivité.
Le socialiste se nourrit des problèmes pour justifier son action. Le libéralisme use des problèmes pour détourner les attentions. C’est très proche..
L’escroquerie du socialisme et du libéralisme repose sur 3 piliers : erreur, dol, et violence ( = trinité des en#&lés ). C’est donc sur le vice de consentement dans le contrat social et sur la terreur que repose nos sociétés. Pour l’instant . . .
Tout cela, ce sera bientôt de la préhistoire.