Les rameurs ? Ou plutôt la galère du navire marchant et ses vauriens à la dérive...
Étrange, c’est la campagne, il y a du soleil, mais c’est glauque. Le vieux en tendem, seul...
Le petit rameur (l’artiste idyllique et imbibé), un étrange mélange de Soral, Michel Blanc et Lénine... Ah ah ah...
Plus sérieusement,
Très bonne mise en lumière de ce mur invisible qu’est l’argent. Ses lois, son pouvoir exercé sur chacun de nos gestes, chacune de nos pulsions...
Un jolie cul devenu inabordable, car l’alcool et le cash doit couler à flot...
Pour d’autres, la fuite dans la sueur de son propre corps, l’absurde d’une bataille sans but partagé...
Finalement, la fuite tout court. Disparaître de ce naufrage, coûte que coûte.
(séquence émotion)
Bon sang, et dire qu’à cette époque, c’était encore moins pire.
Bref... le Cinéma ? c’était mieux avant LOL