Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle
21 juillet 2019 15:11, par JCDe nombreuses premisses issue d’idée recue dans cette article. Par exemple, il n’est pas prouvé, que la reproduction sexuée a pour but d’améliorer le patrimoine génétique. On suppose plutôt que ce type de reproduction à pour but d’amener de l’aléatoire et de la diversité dans la reproduction des êtres complexes.
Il aurait fallu faire la différence entre homosexualité masculine et feminine. Autant les études montrent plus de fluidité chez les femmes que chez les hommes.
Quand à l’homosexualité masculine, les études démontrent une répartition moyenne de 5 à 7 % quelque soit la culture et son comportement vis à vis de l’homosexualité. Cette moyenne universelle tend à invalider l’hypothèse constructiviste ou freudienne, au profit d’un caractère biologique de ce type de comportement humain.
Les études démontrent trois causes ( génétique, épi-génétique et hormonale avec le pic de testostérone pré natale) toutes issues du déterminisme génétique.
La question du maintien de cette variante biologique, n’est elle toujours pas résolu.
La théorie dominante reste celle de la parentèle. L’idée étant qu’ un faible pourcentage d’homosexuel dans une famille ou groupe augmente sa force de travail sans pour autant peser plus sur les ressources futurs. En résumé, cette famille sera plus nourri tout en maintenant un contrôle des naissances. Des données fiables viennent à l’appui de cette théorie ( prévalence d’homosexuel en cas de stress important chez la mère, ou les donnée concernant les familles nombreuses)
Pour plus de précision, je conseille un bouquin de vulgarisation sur le sujet : biologie de l’homosexualité.
Et pour ceux qui n’arrivent pas à dormir, l’excellent cours de l’Université de Stanford : Behavioral genetics dispo sur youtube.