Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle
20 juillet 2019 12:18, par poumier
Evidemment, sauf cas de force majeure, on ne rencontre pas d’homosexualité dans la nature ; la force majeure, c’est l’oppression par des mâles (ou des femelles ?) dominants, la privation d’occasion de satisfaire ses désirs normaux (absence de partenaires de l’autre sexe) ; on l’observe dans les troupeaux : vaches ou chèvres sans mâle à l’horizon compensent comme elles peuvent, trop de coqs dans une basse cour idem. Pour l’humain, il est évident que ces facteurs jouent dans les prisons, par exemple, et actuellement, les pollutions par les multiples poisons affectant nos capacités reproductives diminuent d’autant la puissance du désir de satisfaction avec l’autre sexe. Il y a donc une augmentation de l’homosexualité par augmentation de l’impuissance (psychologique et physiologique). A ma connaissance, personne n’a la moindre idée de ce qu’on peut faire pour restaurer la propreté et la nature dans la nature, à part attendre quelques millions d’années, et voir s’il reste des humains moins atrophiés et anémiés que les actuels.