Finkielkraut casse le consensus : "Je n’aime pas le football féminin"
9 juin 2019 00:03, par PaulJe vais être sérieux et cohérent et logique, par conséquent je ne m’attend pas à être compris ni des féministes, ni des homme-soja.
La truffe norvégienne Ada Hegerberg a refusé sa sélection pour protester contre la différence de traitement pécuniaire entre le footeux male et femelle.
Entendons nous bien : à travail égale, salaire égale, mais la dimension de spectacle est subordonnée à l’audience.
Si effectivement les revenus du foot féminins étaient égaux à ceux masculins, bien sûr. Or, c’est loin d’être le cas.
La cruche vient de gagner avec son club lyonnais sa quatrième ligue des champions, arguant que c’était difficile. Les mecs de Lyon courent toujours après leur coupe, et cela depuis bientôt deux décennies.
Le vivier masculin est tellement important et compétitif que le Graal aux grandes oreilles est éminemment difficile à conquérir, mais chez les femmes, c’est plutôt simple, relativement parlant.
Admettons que ses dires soient la réflexion de la réalité.
Je propose alors, au nom de l’égalité, des équipes mixtes, avec un pourcentage de joueuses allant de 0 à 100% en fonction de la qualité des joueurs.
Nous aurions alors une égalité effective, sans aucune discrimination que l’aptitude à taper dans un ballon. Ah, mais alors, non ! Elles n’en veulent pas.
Au tennis, les organisateurs de Wimbledon ont été les premiers à rémunérer de manière égale les hommes et les femmes, nonobstant le fait que les femmes jouent au meilleur des 3 sets, alors que les hommes doivent cravacher au meilleur des cinq sets, mais aussi du fait que les audiences pour la finale hommes sont bien supérieurs à la finale femme.
De plus, le mec classé 700è est capable de tanner la No1.
C’est une guerre idéologique infondée, qui fait fi des différence physiologiques ainsi que de l’intérêt du public.
C’est injuste, honteux, ridicule et pernicieux.
Si des femmes peuvent prétendre plus que les hommes, aux vues des scores d’audiences, ce sont les nageuses synchronisées et les joueuses de beach volley. Au demeurant, qui regarde le plus ces événements affriolants ? Les hommes !
Finkielkraut, en cette instance, enfonce une porte ouverte.
Pour info, une confrontation a eu lieu entre l’équipe nationale féminine australienne et un club de moins de 15 ans. Résultat, 7-0 pour les ados.
Sérieux, il vaut mieux regarder la coupe Gambardella que la coupe du monde féminine, sauf si elles échangent leurs maillots.
Quelle bande de clocharde ! Remarquez que tous les média, tous, soutienne cette mascarade.