Lancelin, Robert, Miller, Plenel, Branco : petits meurtres entre amis gauchistes
27 avril 2019 11:58, par PamfliC’est assez étrange de disqualifier de complotiste, délirant,… bref toujours la même méthode, des points de vue différents, je dirai même des vécus différents, et c’est bien là la reproduction de ces élites, ces ignorants surdiplômés et donc bien utiles (vous remarquerez comment le système les sélectionne de plus en plus jeunes). Si sachants qu’ils ont déjà tout vu, tout vécu à 30 ans, c’est extraordinaire ! Par conséquent, tout ce qui n’entre pas dans ce formatage est "délirant" : j’aimerai bien que M Branco m’explique les Peintures noires de Goya étant donné qu’il maîtrise ce sujet tout comme le reste d’ailleurs, pourquoi ces représentations dès 1793 ? A cause de sa grave maladie ? Et par conséquent d’un délire paranoïaque ? Nan parce que si je suis son sophisme, je pense que nous pouvons qualifier Goya de totalement "délirant" et "complostiste" !
Je pense qu’il manque encore beaucoup de choses à ce brillant jeune homme : du vécu, notamment connaître la souffrance, non pas celle qu’on lit dans les livres mais celle qu’on a éprouvée dans sa chair afin de sortir des sentiers battus bien balisés par ces grandes écoles, et ainsi accéder à la pensée virile, à la solidité émotionnelle.
M Branco, vous qui êtes un brillant avocat : avez-vous déjà pris plusieurs balles dans la tête, tirées par celzéceux que vous semblez ignorer ou protéger ? Une seule de ces balles vous offrant un aller sans retour pour le centre hospitalier de Saint Anne, vous qui parlez de violence, alors que ce ne sont que des critiques politiques, littéraires, des joutes verbales chez Hanouna, BFMWC auxquelles vous êtes rompues, des commentaires sur youtube… Mais ce n’est pas ça la violence, la douleur, la souffrance.
Comme c’est mimi tout ça, après la jeune fille et sa fausse virginité désormais le mignon et sa bravitude va nous expliquer la vie et sa dureté organisée en oubliant des pans entiers des causes, en omettant de désigner les grands architectes qui l’orchestrent jour après jour dans les loges, désormais de plus en plus à la lumière, nan mais sérieusement.