Moi j’ai tenu 13 minutes.
je précise que je ne suis pas dupe de la manœuvre nationale/sioniste.
Toutefois je suis pour une fois tout à fait d’accord avec Mme Levy, Chouard est un lamentable soixante huitard gauchiste.
Selon lui les patrons exploiteraient et voleraient les salariés ?
Je rappelle à ce monsieur que les salariés sont libres d’aller travailler où bon leur semble et même de ne pas aller travailler, ou encore mieux de se mettre à leur compte et de prouver aux autres ceux dont ils sont capables. Ils auront le privilège de payer l’URSSAF et autres joyeusetés… Ils pourront aussi créer des emplois surpayés et répartir les maigres et très hypothétiques bénéfices.
A t on jamais vu des salariés se comporter comme des propriétaires et compenser les pertes d’une entreprise ? Durant la crise de 2015/2016 j’ai perdu près de 300000 euros, car je n’ai pas voulu licencier mon personnel en attendant des jours meilleurs, personne n’ai venu me taper sur l’épaule pour m’aider (hormis ma femme, que grâce lui soit rendue).
J’étais moi même cadre et j’ai tout quitté pour créer mon entreprise.
Quand je dis tout quitté, je dis que je suis parti après 20 ans de bons et loyaux services, sans demander de contrepartie, ni d’indemnité d’aucune sorte, ni droit au chômage, ni certificat de travail. Je précise que lorsqu’il m’arrive de croiser mes anciens collègues, ouvriers, directeurs ou gérants tous m’ouvrent leurs bras et témoignent de leur attachement à ma personne.
Je suis reparti de zéro, j’ai travaillé tout seul sans salaire et sans revenu, 12 heures par jour et 7/7 durant les deux premières années.
A ce jour, et 19 ans plus tard, MON entreprise a créée deux usines et 25 emplois direct, dans un secteur où la France importe quasiment tout de l’étranger.
Et ce n’est pas un merdeux de professeur qui a toujours vécu au travers de l’état qui pourra me traiter de voleur et d’exploiteur.
A bon entendeur, Monsieur Chouard.
Au fait, merci pour le RIC, mais restez en là car vous n’avez pas l’âme d’un combattant, mais plutôt la posture d’un con battu.