Illégalité du mandat d’arrêt pris contre Alain Soral
27 avril 2019 16:22, par NicoMonsieur Alain Soral, parce que ce Monsieur est un vrai Monsieur, est aujourd’hui soi nié dans sa vérité intrinsèque, exprès ou pas, soi admiré comme il se doit pour son immense courage. Mais un troisième "soi" existe en ce qu’il est encore et surtout inconnu de beaucoup de gens, empêché par le premier "soi", qui verrouille tout, censure, harcèle (Oui Monsieur Soral est harcelé), et cela est vraiment, mais vraiment pénible, pour rester poli, non non non non en fait cela casse carrément les couilles. Que ces autres monsieurs qui eux ne sont pas à mon goût des Monsieurs foutent la paix à cet être qui mérite tout autant que son prochain, prochain qui lui en l’occurrence veut aider, éclairer, autre lanterne que "Les lumières", autre son de cloche (Celle de Notre-Dame sauf que Notre-Dame….(La France) a brûlé).
Leader naturel comme Dieudonné, Aain Soral distille, répand, rien d’autre que la vérité, de son point de vue nous dirons-nous, oui bien entendu, mais attention pas que : il y a clairement un "don de soi", qui mérite un respect total.
Exagération de ma part, endoctrinement ? Conneries, foutaises. Il y a eu Coluche, Bavaloine, et maintenant Dieudonné, synthèse des précédents. Il y a eu Marchais, Jean Marie Le Pen et de la même façon Alain Soral vient faire la synthèse des deux. Mais là encore attention, ils ne se résument pas à cela, ils sont énormément plus que ça, car ils sont puissants, et surtout ils ne sont pas seuls. Et oui comment expliquer toutes les personnes de qualités dont ils sont entourées, à commencer par leurs avocats, tout simplement exquis, raffinés, et même drôles, au bon sens du terme.
Bon bon bon (marquant l’impatience) une bonne fois pour toute il faudrait et je sais combien ce "il faudrait" peut paraître naïf que ces soldats de la guerre à tous les étages (Guerres sociétales, identitaires, économiques, et surtout la guerre pour exiger le pardon, et oui ça existe...) cesse ce foutage de gueule consistant à nuire à autrui lorsque cet autrui qui est donc l’Autre (et donc pas le soi cela va s’en dire) n’est pas en accord avec eux, autrement dit à faire preuve de soumission, à leur cirer les pompes (il y a une catégorie de gens qui ne se prennent définitivement pas pour de la merde), quand il ne faut pas, et là il n’y a rien de naif, s’excuser de vivre et de penser comme on l’entend ? Que ces messieurs aient l’extrême amabilité d’aller gentiment se faire voir, ailleurs. Car dans l’ailleurs il y a parfois le salut.